HaskellHaskell est un langage de programmation fonctionnel fondé sur le lambda-calcul et la logique combinatoire. Son nom vient du mathématicien et logicien Haskell Curry. Il a été créé en 1990 par un comité de chercheurs en théorie des langages intéressés par les langages fonctionnels et l'évaluation paresseuse. Le dernier standard est Haskell 2010 : c'est une version minimale et portable du langage conçue à des fins pédagogiques et pratiques, dans un souci d'interopérabilité entre les implémentations du langage et comme base de futures extensions.
F* (programming language)F* (pronounced F star) is a functional programming language inspired by ML and aimed at program verification. Its type system includes dependent types, monadic effects, and refinement types. This allows expressing precise specifications for programs, including functional correctness and security properties. The F* type-checker aims to prove that programs meet their specifications using a combination of SMT solving and manual proofs. Programs written in F* can be translated to OCaml, F#, and C for execution.
Idris (programming language)Idris is a purely-functional programming language with dependent types, optional lazy evaluation, and features such as a totality checker. Idris may be used as a proof assistant, but is designed to be a general-purpose programming language similar to Haskell. The Idris type system is similar to Agda's, and proofs are similar to Coq's, including tactics (theorem proving functions/procedures) via elaborator reflection. Compared to Agda and Coq, Idris prioritizes management of side effects and support for embedded domain-specific languages.
Lean (assistant de preuve)Lean est un assistant de preuve et un langage de programmation. Il repose sur le principe de calcul des constructions avec types inductifs. Lean possède un certain nombre de fonctionnalités notables qui le distinguent des autres logiciels d'assistance à la preuve. Lean peut être compilé vers du JavaScript, et est ainsi accessible dans un navigateur Web. Il prend en charge nativement les caractères Unicode des symboles mathématiques, qui peuvent être saisis grâce à des raccourcis rappelant la syntaxe de LaTeX (par exemple, "×" s'obtient en tapant "\times").