Biological augmentation is the addition of archaea or bacterial cultures required to speed up the rate of degradation of a contaminant. Organisms that originate from contaminated areas may already be able to break down waste, but perhaps inefficiently and slowly. Bioaugmentation is a type of bioremediation in which it requires studying the indigenous varieties present in the location to determine if biostimulation is possible. After discovering the indigenous bacteria found in the location, if the indigenous bacteria can metabolize the contaminants, more of the indigenous bacterial cultures will be implemented into the location to boost the degradation of the contaminants. Bioaugmentation is the introduction of more archaea or bacterial cultures to enhance the contaminant degradation whereas biostimulation is the addition of nutritional supplements for the indigenous bacteria to promote the bacterial metabolism. If the indigenous variety do not have the metabolic capability to perform the remediation process, exogenous varieties with such sophisticated pathways are introduced. The utilization of bioaugmentation provides advancement in the fields of microbial ecology and biology, immobilization, and bioreactor design. Bioaugmentation is commonly used in municipal wastewater treatment to restart activated sludge bioreactors. Most cultures available contain microbial cultures, already containing all necessary microorganisms (B. licheniformis, B. thuringiensis, P. polymyxa, B. stearothermophilus, Penicillium sp., Aspergillus sp., Flavobacterium, Arthrobacter, Pseudomonas, Streptomyces, Saccharomyces, etc.). Activated sludge systems are generally based on microorganisms like bacteria, protozoa, nematodes, rotifers, and fungi, which are capable of degrading biodegradable organic matter. There are many positive outcomes from the use of bioaugmentation, such as the improvement in efficiency and speed of the process of breaking down substances and the reduction of toxic particles in an area.

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Concepts associés (3)
Groundwater pollution
Groundwater pollution (also called groundwater contamination) occurs when pollutants are released to the ground and make their way into groundwater. This type of water pollution can also occur naturally due to the presence of a minor and unwanted constituent, contaminant, or impurity in the groundwater, in which case it is more likely referred to as contamination rather than pollution.
Phytoremédiation
La phytoremédiation est la dépollution des sols, l'épuration des eaux usées ou l'assainissement de l'air intérieur, utilisant des plantes vasculaires, des algues (phycoremédiation) ou des champignons (mycoremédiation), et par extension des écosystèmes qui supportent ces végétaux. Ainsi on élimine ou contrôle des contaminations. La dégradation de composés nocifs est accélérée par l'activité microbienne. L’étymologie provient du grec « phyton » = plante, et du latin « remedium » = rétablissement de l'équilibre, remédiation.
Bioremédiation
La bioremédiation consiste en la décontamination de milieux pollués au moyen de techniques issues de la dégradation chimique ou d'autres activités d'organismes vivants. Empiler et humidifier des résidus organiques permet la décomposition biologique : un processus connu comme le compostage de déchets organiques. La technologie a été étendue pour inclure le traitement de déchets alimentaires, des déchets agricoles et des eaux usées. Plus récemment, la bioremédiation a été appliquée au traitement des déchets dangereux.

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