In hyperbolic geometry, angle of parallelism , is the angle at the non-right angle vertex of a right hyperbolic triangle having two asymptotic parallel sides. The angle depends on the segment length a between the right angle and the vertex of the angle of parallelism.
Given a point not on a line, drop a perpendicular to the line from the point. Let a be the length of this perpendicular segment, and be the least angle such that the line drawn through the point does not intersect the given line. Since two sides are asymptotically parallel,
There are five equivalent expressions that relate and a:
where sinh, cosh, tanh, sech and csch are hyperbolic functions and gd is the Gudermannian function.
János Bolyai discovered a construction which gives the asymptotic parallel s to a line r passing through a point A not on r. Drop a perpendicular from A onto B on r. Choose any point C on r different from B. Erect a perpendicular t to r at C. Drop a perpendicular from A onto D on t. Then length DA is longer than CB, but shorter than CA. Draw a circle around C with radius equal to DA. It will intersect the segment AB at a point E. Then the angle BEC is independent of the length BC, depending only on AB; it is the angle of parallelism. Construct s through A at angle BEC from AB.
See Trigonometry of right triangles for the formulas used here.
The angle of parallelism was developed in 1840 in the German publication "Geometrische Untersuchungen zur Theory der Parallellinien" by Nikolai Lobachevsky.
This publication became widely known in English after the Texas professor G. B. Halsted produced a translation in 1891. (Geometrical Researches on the Theory of Parallels)
The following passages define this pivotal concept in hyperbolic geometry:
The angle HAD between the parallel HA and the perpendicular AD is called the parallel angle (angle of parallelism) which we will here designate by Π(p) for AD = p.
In the Poincaré half-plane model of the hyperbolic plane (see Hyperbolic motions), one can establish the relation of Φ to a with Euclidean geometry.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
En mathématiques, la fonction de Gudermann, appelée aussi parfois gudermannien, et notée gd, nommée en l'honneur de Christoph Gudermann, fait le lien entre la trigonométrie circulaire et la trigonométrie hyperbolique sans faire intervenir les nombres complexes. La fonction de Gudermann est définie sur l'ensemble des réels par : Le réel , appelé parfois gudermannien de , est relié à ce dernier par les relations : La dérivée de la fonction de Gudermann est donnée par .
En mathématiques, on appelle fonctions hyperboliques les fonctions cosinus hyperbolique, sinus hyperbolique et tangente hyperbolique. Les noms « sinus », « cosinus » et « tangente » proviennent de leur ressemblance avec les fonctions trigonométriques (dites « circulaires » car en relation avec le cercle unité x + y = 1) et le terme « hyperbolique » provient de leur relation avec l'hyperbole d'équation x – y = 1. Elles sont utilisées en analyse pour le calcul intégral, la résolution des équations différentielles mais aussi en géométrie hyperbolique.
En mathématiques, la géométrie hyperbolique (nommée auparavant géométrie de Lobatchevski, lequel est le premier à en avoir publié une étude approfondie) est une géométrie non euclidienne vérifiant les quatre premiers postulats d’Euclide, mais pour laquelle le cinquième postulat, qui équivaut à affirmer que par un point extérieur à une droite passe une et une seule droite qui lui est parallèle, est remplacé par le postulat selon lequel « par un point extérieur à une droite passent plusieurs droites parallèle