Les langues en voie de disparition sont les langues dont le nombre de locuteurs décroît au point de les faire disparaître (voir : mort d'une langue). Parmi les quelque du monde, un grand nombre est en train de disparaître et ce phénomène s'accélère d'année en année. L' considère que les langues appartiennent au patrimoine culturel immatériel de l'humanité et œuvre pour la diversité linguistique par des programmes de sauvegarde des langues en danger.
Les langues formosanes sont un regroupement géographique qui regroupe 9 branches sur 10 de la famille austronésienne. Les langues malayo-polynésiennes n'en font pas partie. Elles sont parlées par les aborigènes de Taïwan, qui représentent environ de la population de l'île. On estime maintenant que Taïwan est le berceau de toutes les autres langues austronésiennes, en raison de la diversité linguistique et de l'archaïsme des langues austronésiennes parlées à Taïwan.
La revitalisation linguistique est un processus cherchant à empêcher une langue de disparaître et à la faire revivre. Le nombre de s'élève actuellement à quelques dizaines: aïnou, arabe andalou, barngarla, chochenyo, cornique, dalmate, diyari, hawaïen, kaurna, latin, laze, live, léonais, manx, māori, mutsun, gascon, vieux-prussien, palawa kani, sanskrit, wampanoag. Cette liste est ouverte, et des dizaines d'autres langues pourraient y être incluses, tant les efforts de revitalisation linguistique sont répandus dans le monde.