Atar (Perse antique)vignette|Une cérémonie Parsi-Zoroastrienne Jashan (ici la bénédiction d'une maison à Pune, Inde) Atar [prononciation ] (Avestan ātar) est le concept zoroastrien du feu sacré, parfois décrit en termes abstraits comme « feu brûlant et éteint » ou « feu visible et invisible » (Mirza, 1987:389). Ātar, « Feu d'Ahura Mazda » dans l'Avesta ancien, et ultérieurement « Feu, fils d'Ahura Mazda » est consubstantiel au dieu suprême dont l'être s'identifie à la lumière infinie à laquelle est associée la vérité, comme les ténèbres sont associés au mensonge.
VisperadVisperad or Visprad is either a particular Zoroastrian religious ceremony or the name given to a passage collection within the greater Avesta compendium of texts. The Visperad ceremony "consists of the rituals of the Yasna, virtually unchanged, but with a liturgy extended by twenty-three supplementary sections." These supplementary sections (kardag) are then – from a philological perspective – the passages that make up the Visperad collection. The standard abbreviation for Visperad chapter-verse pointers is Vr.
AshiAshi (Avestan: 𐬀𐬴𐬌 aṣ̌i/arti) is the Avestan language word for the Zoroastrian concept of "that which is attained." As the hypostasis of "reward," "recompense," or "capricious luck," Ashi is also a divinity in the Zoroastrian hierarchy of yazatas. Avestan 'ashi' is a feminine abstract noun, deriving from the root ar-, "to allot," with a substantivizing -ta suffix, hence aṣ̌i/arti "that which is granted." In the Avesta, the term implies both material and spiritual recompense.
Dive (mythologie)Un dive (en دیو) ou daeva (daēuua, daāua, daēva) en avestique est un esprit maléfique de la mythologie iranienne qui aime causer la douleur et la destruction. L'étymologie de ce nom vient du mot indo-européen deiva signifiant « céleste, brillant ». Le mot persan a été emprunté en arménien sous le nom de dew, en géorgien sous le nom de dévi, en ourdou sous le nom de deo et en turc sous le nom de dev, avec les mêmes associations négatives dans ces langues. Leur chef est Ahriman.
SassanidesLEmpire sassanide, officiellement connu sous le nom dempire des Iraniens (en pehlevi : 𐭠𐭩𐭥𐭠𐭭𐭱𐭲𐭥𐭩 / Ērānshahr), et aussi appelé Empire néo-perse par les historiens, est la désignation pour la dernière dynastie impériale perse à exister avant la conquête arabo-musulmane au milieu du . Nommé d'après la , il a duré plus de quatre siècles, de 224 à 651, ce qui en fait la plus longue dynastie perse ayant persisté.
Calendrier zoroastrienLe calendrier zoroastrien est un calendrier religieux utilisé par les adeptes du zoroastrisme. Approximation du calendrier solaire tropical, ce calendrier est encore utilisé de nos jours par les fidèles zoroastriens pour leurs fêtes religieuses. Avant la réforme entreprise par l’empereur des Sassanides Ardachîr I, le calendrier en usage dans la Perse antique, basé sur le calendrier babylonien, avait une année de 360 jours. Dans ce système, le Kabiseh (ou déficit) est accumulé chaque année et compensé par l’adjonction périodique d’un treizième mois.
ZoroastreZoroastre, aussi appelé Zarathushtra ou Zarathoustra (en persan : زرتشت ; en avestique : Zaraθuštra ; en grec : Ζωροάστρης, en kurde Zerdeşt), est une figure considérée comme le prophète et fondateur du zoroastrisme. Il est difficile, étant donné l'époque et l'importance du personnage, sources de nombreuses affabulations, de donner des dates et des lieux précis à son sujet. Il serait né dans le Nord ou l'Est de l'actuel Iran.
BarsomLe barsom, ou baresman, est un ustensile du culte zoroastrien. Dans l'antiquité, il s'agissait d'un fagot de branches de grenadier ou de tamaris. Il a été remplacé par des baguettes de cuivre ou d'argent par les Parsis, qui ne trouvèrent pas les arbres traditionnels en Inde où ils fuyaient la conquête arabe. Le nombre de baguettes composant le barsom dépend du service religieux pour lequel il est utilisé : vingt-trois pour le Yasna, trente-cinq pour le Vendidad, cinq pour le Baj.
Pont de Chinvatvignette|La représentation du pont de Chinvat sur le sarcophage de Wirkak, qui était un sogdien. Dans le zoroastrisme, le départage les morts, qui vont soit dans la Maison du Druj, soit dans la Maison des Chants. Cette notion est à la source d'idées similaires dans d'autres traditions religieuses et culturelles. Le texte le plus ancien qui en parle est le "Yaçna 46.10" qui fait partie des textes des Gathas, les plus anciens de l'Avesta.
ZendZend or Zand (𐭦𐭭𐭣) is a Zoroastrian technical term for exegetical glosses, paraphrases, commentaries and translations of the Avesta's texts. The term zand is a contraction of the Avestan language word (, meaning "interpretation", or "as understood"). Zand glosses and commentaries exist in several languages, including in the Avestan language itself. These Avestan language exegeses sometimes accompany the original text being commented upon, but are more often elsewhere in the canon.