The Des Moines Register | EPFL Graph Search

The Des Moines Register is the daily morning newspaper of Des Moines, Iowa, United States. The first newspaper in Des Moines was the Iowa Star. In July 1849, Barlow Granger began the paper in an abandoned log cabin by the junction of the Des Moines and Raccoon River. In 1854, The Star became the Iowa Statesman which was also a Democratic paper. In 1857, The Statesman became the Iowa State Journal, which published three times per week. In 1870, The Iowa State Journal became the Iowa State Leader as a Democratic newspaper, which competed with pro-Republican Iowa Daily State Register for the next 32 years. In 1902, George Roberts bought the Register and Leader and merged them into a morning newspaper. In 1903, Des Moines banker Gardner Cowles, Sr. purchased the Register and Leader. The name finally became The Des Moines Register in 1915. (Cowles also acquired the Des Moines Tribune in 1908. The Tribune, which merged with the rival Des Moines News in 1924 and the Des Moines Capital in 1927, served as the evening paper for the Des Moines area until it ended publication on September 25, 1982). Under the ownership of the Cowles family, the Register became Iowa's largest and most influential newspaper, eventually adopting the slogan "The Newspaper Iowa Depends Upon." Newspapers were distributed to all four corners of the state by train and later by truck as Iowa's highway system improved. In 1906, the newspaper's first front-page editorial cartoon, illustrated by Jay Norwood Darling, was published; the tradition of front-page editorial cartoons continued until December 4, 2008, when 25-year veteran cartoonist Brian Duffy was let go in a round of staff cuts. The Register employed reporters in cities and towns throughout Iowa, and it covered national and international news stories from an Iowa perspective, even setting up its own news bureau in Washington, D.C. in 1933. During the 1960s, circulation of the Register peaked at nearly 250,000 for the daily edition and 500,000 for the Sunday edition–more than the population of Des Moines at the time.

Terre crue en milieu urbain: développement d'une architecture bioclimatique au Maroc

Carole Froidevaux

«Je choisirais [de vivre dans] un logement en terre sous condition que toutes les nécessités de ma vie actuelle soient disponibles.» [Propos extraits d'un dialogue à Casablanca. Dans le passé, la personne a vécu dans un logement en terre crue.] Le patrimoine architectural marocain présente de nombreux exemples d'architecture en terre crue, démontrant que celle-ci est bien adaptée au climat local exposé à de fortes chaleurs en été. Au-delà du côté “sentimental” des traditions, la terre crue n'est pas incompatible avec “confort moderne”. Bien qu'éclipsée par l'arrivée des matériaux industriels, la prise de conscience des enjeux environnementaux lui donne un nouvel intérêt dans l'optique de favoriser des cycles courts et des matériaux renouvelables. Alors que le Maroc vient de mettre en place un règlement thermique pour la construction visant l'efficacité énergétique, le projet propose un modèle de logement bioclimatique redonnant une place à la terre dans la conception du bâtiment. Il se situe à Marrakech et se concentre, à l'échelle d'un quartier, sur un nouveau modèle de “maison marocaine” pour la classe moyenne. Proche de l'architecture traditionnelle par sa forme urbaine à patio, il se différencie par sa matérialité. Les murs périphériques des logements sont en adobe créant une enveloppe massive et lisse protégeant des nuisances extérieures. Un revêtement métallique entrelacé recouvre les autres façades plus légères possédant les ouvertures orientées sur le patio. Il module à la fois la vue et la lumière estompant ainsi la limite entre l'espace intérieur et extérieur.

2017

Penser temporaire, construire éphémère ?

Que ce soit à l'échelle de l'agglomération, du quartier, du bâtiment ou de ses éléments, le cycle de vie fait partie intégrante des pratiques et des décisions, ne serait-ce que de manière implicite. Si l'observation de notre patrimoine bâti montre que ce dernier se renouvelle selon des cycles relativement lents, notre société se caractérise à l'inverse par des évolutions socioculturelles de plus en plus rapides. Face à ce double constat, les praticiens et les décideurs impliqués dans la transformation de l'environnement construit sont amenés à réfléchir sur les références temporelles les plus pertinentes pour leur action.

Association Ecoparc2003