Théorie cardinale de l'utilitévignette|Example de la théorie La théorie cardinale de l'utilité est la théorie selon laquelle l'on peut exprimer par une quantité l'utilité procurée par un montant de consommation donné, en outre c'est l'utilité ressentie. Cette hypothèse de mesurabilité suppose que l'on peut établir une hiérarchie entre les niveaux d'utilité : si l'utilité de est 100 et celle de est 300, ceci veut tout simplement dire que l'utilité de est trois fois supérieure à celle de . L'util, est l'unité proposée pour mesurer l'utilité.
Preference (economics)In economics and other social sciences, preference refers to the order in which an agent ranks alternatives based on their relative utility. The process results in an "optimal choice" (whether real or theoretical). Preferences are evaluations and concern matter of value, typically in relation to practical reasoning. An individual's preferences are determined purely by a person's tastes as opposed to the good's prices, personal income, and the availability of goods. However, people are still expected to act in their best (rational) interest.
Utilité (économie)En économie, l'utilité est une qualité d'un objet par laquelle est possible une mesure relative au bien-être ou de la satisfaction présente par la consommation, ou le profit trouvable d'un bien ou d'un nombre de services. Elle est liée mais distincte au besoin d'un consommateur. Ce concept est utilisé dans les fonctions d'utilité, fonctions d'utilité sociale, optimum au sens de Wilfredo Pareto, boîtes d'Edgeworth. C'est un concept central de l'économie du bien-être. À l'origine, la notion d'utilité est essentiellement liée à la prise de risque.
Utilité marginaleL'utilité marginale est un concept économique. Elle désigne l'utilité qu'un agent économique tire de la consommation d'une quantité supplémentaire d'un bien. Le raisonnement est dit à la marge parce que l'utilité marginale consiste en l'utilité par unité supplémentaire consommée. Comme l'a observé l'ingénieur Dupuit dès 1844, l'utilité marginale décroît marginalement, ce qui signifie qu'il arrive un moment où une unité supplémentaire de consommation d'un bien apporte moins d'utilité ou de plaisir que la consommation de l'unité précédente.
Courbe d'indifférenceEn économie, une courbe d'indifférence est l'ensemble des combinaisons de deux biens qui procurent au consommateur un niveau de satisfaction identique. En microéconomie, une courbe d'indifférence est une courbe permettant de représenter l'ensemble des combinaisons de deux biens pour lesquels un agent économique (tel qu'un consommateur ou une entreprise) serait indifférent, c'est-à-dire qu'il n'aurait pas de préférence pour une combinaison plutôt qu'une autre en termes d'utilité ordinale.
Théorie du consommateur (microéconomie)La théorie du consommateur est une théorie économique néoclassique ayant comme objectif de modéliser le comportement d'un agent économique en tant que consommateur de biens et de services. En application des principes de l'utilitarisme à l'économie, et dans le cadre du courant marginaliste, elle a été notamment développé sur la base des travaux de Heinrich Gossen (1810-1858) et Carl Menger (1840-1921). Elle est sous-tendue par la théorie de la valeur-utilité, en opposition à la théorie classique de valeur-travail.
Utility maximization problemUtility maximization was first developed by utilitarian philosophers Jeremy Bentham and John Stuart Mill. In microeconomics, the utility maximization problem is the problem consumers face: "How should I spend my money in order to maximize my utility?" It is a type of optimal decision problem. It consists of choosing how much of each available good or service to consume, taking into account a constraint on total spending (income), the prices of the goods and their preferences.
Convex preferencesIn economics, convex preferences are an individual's ordering of various outcomes, typically with regard to the amounts of various goods consumed, with the property that, roughly speaking, "averages are better than the extremes". The concept roughly corresponds to the concept of diminishing marginal utility without requiring utility functions. Comparable to the greater-than-or-equal-to ordering relation for real numbers, the notation below can be translated as: 'is at least as good as' (in preference satisfaction).
Théorie du choix rationnelLa théorie du choix rationnel (en anglais « rational choice theory », prononcé 'ræʃənl tʃɔɪs thēərē), ou « décision rationnelle », en microéconomie contemporaine, regroupe plusieurs théories de l'action qui, de manière générale, attribuent aux agents un comportement rationnel, lequel, en raison de préférences, dénote une recherche du plus grand profit pour le moindre mal. Elles ont été développées en économie (où elles constituent un paradigme dominant), en sociologie (où elles sont en concurrence avec d'autres paradigmes) et en psychologie, notamment en criminologie.
École néoclassiqueL'école néoclassique est une école de pensée économique dont la thèse centrale est que les marchés disposent de mécanismes autorégulateurs qui, en l'absence d'intervention extérieure, conduisent à l'optimum économique ; l'État n'a ainsi qu'un rôle très mineur à jouer dans le domaine économique. Fondée par les économistes marginalistes Léon Walras, William Stanley Jevons et Carl Menger à la fin du , elle a dominé la science économique jusqu'à l'avènement du keynésianisme amendé.