A bailout is the provision of financial help to a corporation or country which otherwise would be on the brink of bankruptcy.
A bailout differs from the term bail-in (coined in 2010) under which the bondholders or depositors of global systemically important financial institutions (G-SIFIs) are forced to participate in the recapitalization process, but taxpayers are not. Some governments also have the power to participate in the insolvency process: for instance, the U.S. government intervened in the General Motors bailout of 2009–2013. A bailout can, but does not necessarily, avoid an insolvency process. The term bailout is maritime in origin and describes the act of removing water from a sinking vessel using a bucket.
A bailout could be done for profit motives, such as when a new investor resurrects a floundering company by buying its shares at firesale prices, or for social objectives, such as when, hypothetically speaking, a wealthy philanthropist reinvents an unprofitable fast food company into a non-profit food distribution network. However, the common use of the phrase occurs where government resources are used to support a failing company typically to prevent a greater problem or financial contagion to other parts of the economy.
For example, the US government assumes transportation to be critical to the country's general economic prosperity. As such, it has sometimes been the policy of the US government to protect major US companies responsible for transportation (aircraft manufacturers, train companies, automobile companies, etc.) from failure by subsidies and low-interest loans. Such companies, among others, are deemed "too big to fail" because their goods and services are considered by the government to be constant universal necessities in maintaining the nation's welfare and often, indirectly, its security.
Emergency-type government bailouts can be controversial. Debates raged in 2008 over if and how to bail out the failing auto industry in the United States.
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La crise des subprimes () est une crise financière qui a touché le secteur des prêts hypothécaires à risque () aux États-Unis à partir de . Avec la crise bancaire et financière de l'automne 2008, ces deux phénomènes inaugurent la crise financière mondiale de 2007-2008. La crise trouve son point de départ dans la hausse des taux directeurs de la Réserve fédérale à partir de 2005. Cette hausse, renchérissant le coût du remboursement des prêts, s'accompagne ainsi d'un taux de défaut de 15 % de ces crédits en 2007.
La crise financière mondiale de 2007-2008 est une crise financière, marquée par une crise de liquidité et parfois par des crises de solvabilité tant au niveau des banques que des États, et une raréfaction du crédit aux entreprises. Amorcée en , elle trouve son origine dans le dégonflement de bulles de prix (dont la bulle immobilière américaine des années 2000) et les pertes importantes des établissements financiers provoquées par la crise des subprimes.
thumb|Cours de plusieurs bourses européennes en 2020 subissant le krach de mars 2020 avant une remontée progressive. Un krach est une baisse brutale des prix d'une classe d'actifs, comme un marché financier à la suite d'un afflux massif d'ordres de vente. Un krach intervient parfois après l'éclatement d'une bulle spéculative, comme le krach boursier de 2001-2002 après celui de la bulle Internet. L'histoire des bourses de valeurs est jalonnée de krachs.
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