Concept

Sui Wendi

Concepts associés (16)
Souverain chinois
Le souverain chinois est le souverain d’une période particulière dans la Chine ancienne, et plus tard la Chine impériale. Plusieurs titres et schémas de nommage ont été utilisés tout au long de l’histoire. Les caractères Huang (皇 huáng "auguste (souverain)") et Di (帝 dì "le souverain") avaient été utilisés séparément et jamais de manière consécutive (voir Trois août et cinq empereurs). Le caractère était réservé aux dirigeants mythologiques jusqu'au premier empereur de Qin (Qin Shi Huang), qui créa un nouveau titre, Huangdi (皇帝 in pinyin : huáng dì) en -221, qui se traduit couramment par empereur.
Hanfu
Le hanfu ( Hans, est le vêtement traditionnel porté par les Hans avant la dynastie Qing. Il est aussi appelé hanzhuang () ou huafu (). Il diffère de la robe qipao () et de la veste tangzhuang (), habits d’origine mandchoue introduits sous la dynastie Qing, souvent considérés comme les vêtements chinois typiques. Selon la tradition historique chinoise, le légendaire Empereur Jaune ou ses ministres auraient inventé le hanfu, et sa femme, Leizu, l’élevage du ver à soie.
Dynastie Sui
La dynastie Sui () () succède aux dynasties du Nord et du Sud et précède la dynastie Tang, en Chine. La dynastie Sui est une dynastie pivot dans l'histoire de la Chine dans la mesure où elle met fin à quatre siècles de division, et impose par ses réformes et ses grands travaux une unité qui sera à partir d'elle vue comme naturelle. Elle est fondée par Yang Jian, le puissant général semi-barbare des Zhou du Nord. Devenant dès lors l'empereur Wendi des Sui, il soumet la Chine du sud, puis impose comme capitale Daxing (大興, plus tard renommée Chang'an, actuelle Xi'an).
Pagode
200px|thumb|Pagode du Hōryū-ji au Japon Le mot pagode désigne un lieu où se trouve une relique et un lieu de culte pour les adeptes du bouddhisme, prenant l'aspect d'une tour de plusieurs étages, circulaire, octogonale ou carrée, caractérisée par un toit évasé ou en épi. C'est la forme qu'a prise le stûpa d'Inde, ou zedi, dans le monde chinois, en Asie de l'Est. C'est, selon certains dictionnaires, un terme issu du portugais pagoda, lui-même issu du dravidien pagôdi ou pagavadi (nom de Kali, épouse de Shiva), provenant du sanskrit bhagavati, signifiant « déesse », féminin de bhagavan, « saint, divin ».
Légisme
Le légisme ou école des Lois regroupe des penseurs chinois ayant vécu de la fin du jusqu'à la fin de la période des Royaumes combattants (). S'opposant au confucianisme, ils recommandent un gouvernement fort, fondé sur des lois connues de tous et non sur la bonté des hommes. Ils prônent l'absolutisme au moment où, en Chine, la féodalité est remise en question. Leur « réalisme politique » a mené à un exercice tyrannique du pouvoir, finalement rejeté et par la suite rarement revendiqué.
Examens impériaux
En Chine impériale, l'examen impérial () était un examen pour déterminer qui de la population pouvait faire partie de la bureaucratie de l'État. Ce système a existé continûment pendant , depuis sa création en 605 jusqu'à son abolition vers la fin de la dynastie Qing, en 1905. Les examens mandarinaux, dans la Chine impériale, permettaient d’entrer dans la bureaucratie de l’État, le premier but étant de remplacer la transmission du pouvoir aristocratique par une transmission du pouvoir méritocratique.

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