vignette|Un wakashū (sûrement un kagema) glisse un baiser à une prostituée dans le dos de son client. Nishikawa Sukenobu, vers 1716-1735. Dessin shunga.
vignette|Un kagema est assis sur les genoux de son protecteur. Peinture de Miyagawa Isshō (1750).
est un terme historique japonais désignant de jeunes prostitués mâles dans le Japon de l'époque d'Edo (1603-1867). Ceux-ci étaient souvent des apprentis acteurs de kabuki (qui étaient eux-mêmes parfois prostitués à l'occasion) et offraient leurs faveurs à une clientèle autant masculine que féminine.
Pour les clients mâles, le service préféré était le sexe anal et non la fellation homosexuelle qui n'est presque jamais mentionnée dans les documents de l'époque d'Edo. Ceci est basé sur la croyance que la jouissance de la stimulation anale était uniquement d'ordre physique et non émotionnel. La croyance que l'anus est au centre de l'énergie sexuelle est issue à l'origine des textes chinois.
Les kagema qui n'étaient pas employés par un théâtre kabuki pouvaient être embauchés dans un bordel masculin ou dans un salon de thé spécialisé dans les kagema. Plusieurs institutions étaient connues sous le terme kagemajaya. Les kagema, généralement plus demandés que les prostituées femmes de statut équivalent, connaissent un commerce fructueux au milieu du malgré les restrictions pénales de plus en plus sévères. Cet intérêt croissant pour les kagema était dû pour partie à la présence de samouraïs de plus en plus nombreux dans les villes. Les garnisons de centaines de samouraïs au début du n'apportèrent pas uniquement la tradition d'amour masculine du nanshoku dans les centres urbains, mais déséquilibraient également considérablement le ratio hommes/femmes (170 hommes pour 100 femmes), ce qui limitait de toute évidence les possibilités sexuelles des jeunes hommes de la classe moyenne et les encourageait à pratiquer le nanshoku.
Les kagema étaient immensément populaires chez la classe des marchands et l'élite aisée, qui se livraient à une forme débauchée du nanshoku.
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Pederasty in ancient Greece was a socially acknowledged romantic relationship between an older male (the erastes) and a younger male (the eromenos) usually in his teens. It was characteristic of the Archaic and Classical periods. The influence of pederasty on Greek culture of these periods was so prevalent that it has been called "the principal cultural model for free relationships between citizens." Some scholars locate its origin in initiation ritual, particularly rites of passage on Crete, where it was associated with entrance into military life and the religion of Zeus.
Les preuves de l'homosexualité dans la Grèce antique sont nombreuses. Cette civilisation est souvent citée comme un modèle de tolérance pour l'homosexualité en général. Cependant, un examen détaillé des sources offre une image plus nuancée. thumb|Scène amoureuse lors d'un symposium sur une fresque du tombeau du Plongeur, à Poséidonia, vers 480-470 av. J.-C.. La place accordée à l'homosexualité était différente d'une cité à l'autre. La pédérastie et l'amour entre garçons étaient socialement acceptés et parfois même encouragés.
vignette|upright|Bustes de l'empereur romain Hadrien et de son amant Antinoüs, aujourd'hui conservé au British Museum de Londres. vignette|Mosaïque romaine de Suse (en Libye), représentant le mythe de Zeus sous la forme d'un aigle enlevant le garçon Ganymède. L'homosexualité dans la Rome antique regroupe l'ensemble des relations amoureuses, désirs, pratiques sexuelles, entre personnes de même sexe et les représentations, discours et productions artistiques qui y sont associées.