vignette|droite|Le président George W. Bush signe le 6 juin 2001 le qui amorce la baisse des impôts.
Les réductions fiscales de l'administration Bush réfèrent aux changements opérés sur le système fiscal américain démarrées au cours de la présidence de George W. Bush et prolongées au cours de la présidence de Barack Obama.
Ces réductions fiscales sont opérés par plusieurs textes de loi qui sont promulgués entre 2001 et 2012 :
Le (EGTRRA)
Le (JGTRRA)
Le
Le
Chaque loi a eu son propre parcours législatif et effets sur la loi fiscale des États-Unis, la loi JGTRRA de 2003 ayant amplifié et anticipé certains aspects de la loi EGTRRA de 2001. Depuis 2003 ces deux lois sont le plus souvent mentionnées conjointement, notamment pour l'étude de leur impact sur l'économie des États-Unis, la population américaine et l'étude de leurs conséquences politiques. Les deux lois ont été adoptés selon la procédure controversée de .
Les réductions fiscales de l'administration Bush comportaient des clauses crépusculaires fixant une échéance initiale à 2010. La fin des années 2000 est marquée par un intense débat politique sur la prolongation, ou non, des réductions fiscales.
Finalement, le adopté en 2010 prolonge ces réductions pour deux années. Enfin, en 2012 au cours de la falaise fiscale, les réductions sont rendues permanentes pour les personnes seules gagnant moins de par an ou les couples gagnant moins de par an tout en éliminant toutes les autres réductions.
300px|vignette|Taux moyens de l'impôt sur le revenu pour les contribuables les 0,1 et 0,01 % plus aisés
Les lois (2001) et (2003) ont significativement réduit les taux marginaux de l'impôt sur le revenu pour pratiquement tous les contribuables américains.
Un contrecoup de ces réductions est qu'il fait apparaître au grand jour une disposition alors peu connue du système fiscal américain : la (AMT). Cette disposition, introduite en 1982 sous l'Administration Reagan faisait en sorte que les contribuables américains, en particulier les plus aisés, ne puissent empiler de nombreuses niches fiscales et déductions pour échapper à l'impôt.
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We argue that the time-varying regional distribution of housing equity influences the aggregate consequences of monetary policy through its effects on mortgage refinancing. Using detailed loan-level data, we show that regional differences in housing equity ...
La présidence de Barack Obama débute le , date de l'investiture de Barack Obama en tant que président des États-Unis, et s'achève le , après l'élection présidentielle de 2016 à laquelle il ne peut participer, ayant effectué deux mandats. Barack Obama succède à George W. Bush et met en place l'administration Obama, remplaçant une grande partie des hauts fonctionnaires de l'ancien gouvernement.
vignette|Le en et sa devise libertarienne (« Ne me marche pas dessus ») figurent parmi l'imagerie révolutionnaire de la guerre d'indépendance reprise par les partisans du mouvement en. Le en est un mouvement politique aux États-Unis, contestataire, de type libertarien, qui s'oppose à la croissance de l'État fédéral et de ses impôts. Le Tea Party émerge au début de la présidence Obama, dans le contexte de la crise économique de 2008-2010 liée à la crise financière.
L’« économie de l'offre » ou « politique de l'offre », est un ensemble de politiques économiques d'orientation libérale, qui soutient que des politiques de soutien à l'offre (c'est-à-dire aux entreprises) permettent de stimuler la croissance économique. Ses tenants considèrent souvent que la faiblesse de la croissance réside dans les freins ou obstacles que rencontrent les acteurs économiques : prélèvements excessifs (cotisations sociales et impôts), salaires insuffisamment soumis à la concurrence du marché, régulation excessive des marchés, etc.