Une épitrochoïde est une courbe plane transcendante, correspondant à la trajectoire d'un point fixé à un cercle mobile qui roule sans glisser sur et autour d'un autre cercle dit directeur.
où R est le rayon du cercle directeur, r celui du cercle mobile, d la distance du point au centre du cercle mobile et le paramètre d'angle.
Toute épicycloïde de paramètres R, r, d est équivalente à une péritrochoïde de paramètres
Par péritrochoïde, on entend la courbe obtenue à l'aide d'un point lié à un cercle mobile roulant sans glisser autour d'un cercle directeur qu'il contient, soit une « hypotrochoïde » pour laquelle .
L'enceinte du moteur Wankel représente en coupe une épitrochoïde/péritrochoïde.
Lorsque le point est situé sur le cercle mobile (), on obtient une épicycloïde.
Quand les deux cercles sont de même rayon (), l'épitrochoïde représente un limaçon de Pascal, voire une cardioïde si .
Pour , on obtient une rosace.
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This is a list of some well-known periodic functions. The constant function _ () = , where c is independent of x, is periodic with any period, but lacks a fundamental period. A definition is given for some of the following functions, though each function may have many equivalent definitions. All trigonometric functions listed have period , unless otherwise stated. For the following trigonometric functions: Un is the nth up/down number, Bn is the nth Bernoulli number in Jacobi elliptic functions, The following functions have period and take as their argument.
Une épicycloïde est une courbe plane transcendante, trajectoire d'un point fixé à un cercle qui roule sans glisser sur un autre cercle dit directeur, les disques ouverts ayant ces deux cercles pour frontière étant disjoints. Il s'agit donc d'un cas particulier de cycloïde à centre, qui est une catégorie de courbe cycloïdale. Le mot est une extension de cycloïde, inventé en 1599 par Galilée, et a la même étymologie : il vient du grec epi (sur), kuklos (cercle, roue) et eidos (forme, « semblable à »).
En géométrie, les hypotrochoïdes sont des courbes planes décrites par un point lié à un cercle mobile roulant sans glisser sur et intérieurement à un cercle de base fixe, de rayon plus grand que le cercle mobile. Ces courbes ont été étudiées par Albrecht Dürer en 1525, Ole Christensen Rømer en 1674 et Jean Bernoulli en 1725 : Le mot se compose des racines grecques hupo (au-dessous) et trokhos (la roue). Lorsque le cercle roule à l'extérieur, on a affaire à une épitrochoïde.