Un essaim, mieux connu sous le nom de pluie d'étoiles filantes ou de météores, est une augmentation temporaire et périodique de la quantité d'étoiles filantes observées dans le ciel. Le phénomène est causé par le passage de la Terre dans l'orbite d'une comète, ce qui engendre la pénétration d'une grande quantité de poussière cométaire dans l'atmosphère terrestre. Ces étoiles filantes semblent provenir d'un même point dans le ciel, le radiant.
On recense plusieurs dizaines d'essaims. Les noms de ces pluies d'étoiles filantes sont majoritairement dérivés de la constellation où se trouve leur radiant. Chaque essaim se produit chaque année à la même période avec une intensité variable.
vignette|redresse=1.5|Représentations des Léonides de 1833.
L'intensité des Léonides de novembre 1833, qui aurait compté de dix à cent mille météores à l'heure, a suscité beaucoup d'interrogations. Ces dernières ont mené à de nombreux développements et théories scientifiques sur l'origine des météores. C'est à cette époque que l'américain (1791-1859) donne une explication à ce phénomène qu'il publie dans lAmerican Journal of Sciences and Arts. Il y affirme que le maximum d'intensité n'a été observé qu'en Amérique du Nord et que les météores provenaient de la constellation du Lion. Il émet l'hypothèse que les météores étaient originaires d'un nuage de particules dans l'espace.
En 1890, les astronomes George Johnstone Stoney (1826-1911) et (1850-1917) tentent de calculer la position de la poussière par rapport à l'orbite de la Terre. Ils ont étudié la poussière éjectée par la comète 55P/Tempel-Tuttle en 1866 avant le retour des Léonides attendu en 1898 et 1899. Les calculs ont démontré que la poussière serait loin à l'intérieur de l'orbite terrestre. Les mêmes résultats ont été déterminés indépendamment par Adolf Berberich de l'Institut de calcul astronomique. Ces calculs ont été confirmés puisque la pluie de météores n'a pas eu lieu.
En 1981, Donald K. Yeomans du Jet Propulsion Laboratory a révisé l'historique des Léonides et de l'orbite dynamique de la comète Tempel-Tuttle.
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L'œil nu est une expression qui désigne la perception visuelle humaine sans aide technique, comme une loupe, un télescope, un microscope. Le terme est souvent utilisé en astronomie pour désigner des événements qui peuvent être observés par le grand public. De façon générale, il est possible d'observer à l'œil nu des objets astronomiques dont la magnitude apparente atteint +6. La résolution angulaire de l'œil est d'environ 1', mais cette valeur diffère suivant les individus.
Le nuage zodiacal () du Système solaire est un épais disque circumsolaire de petites particules de poussière produites par des collisions d'astéroïdes ou par l'émission de poussières des comètes. Il se trouve dans l'espace interplanétaire, généralement à proximité du plan de l'écliptique. Le nuage zodiacal a une forme presque lenticulaire. Il est également structuré radialement, avec des zones plus ou moins peuplées. Une partie de ces zones se superpose à celles de la ceinture d'astéroïdes et occupent l'espace sur des orbites qui sont aussi associées à celles de diverses familles d'astéroïdes.
Un micrométéoroïde est un petit météoroïde, c'est-à-dire une petite particule de matière se déplaçant dans l'espace, dont la masse ne dépasse pas un gramme. Ce sont généralement de très petits morceaux de roche ou de métal qui se sont détachés d'un plus gros amas de roche et de débris qui datent souvent de la naissance du système solaire. Les micrométéoroïdes sont extrêmement communs dans l'espace. Les petites particules sont une contribution majeure à l'érosion spatiale.
Understanding the aerodynamic coefficients of meteoroid fragments, deorbiting space debris, or launch vehicle stages through atmospheric reentry is essential for ground risk assessments. In high enthalpy flow, surface roughness is a crucial factor affectin ...
Results are presented from the JET Trace Tritium Experimental (TTE) campaign using minority tritium (T) plasmas (n(T)/n(D) < 3%). Thermal tritium particle transport coefficients (D-T, nu(T)) are found to exceed neo-classical values in all regimes, except i ...