La finance de l'ombre (en anglais : shadow banking), ou encore système bancaire parallèle, désigne l'ensemble des activités et des acteurs contribuant au financement du système économique et ne sont pas des banques. L'expression de ne renvoie donc pas aux activités hors bilan des banques. Le shadow banking est défini comme par le Conseil de stabilité financière.
L'expression est cependant hautement ambiguë. Ainsi Jean Tirole la définit comme étant , qui peut s'opérer via des activités hors bilan. Son périmètre exact demeure imprécis, en raison notamment des différences nationales de définition du secteur bancaire (restreint aux établissements de crédit constitués sous forme de société commerciale aux États-Unis, entendu comme l’ensemble des établissements de crédit dans l’Union européenne, étendu aux établissements intervenant dans la gestion et la distribution des prêts en Allemagne et en France).
Les causes du développement de la finance de l'ombre sont multiples. L'évolution de la réglementation bancaire, qui s'est intensifiée sous les effets des accords de Bâle successifs, a conduit le système bancaire à chercher refuge dans un secteur moins réglementé.
Alors que les activités fondamentales des banques d'investissement sont soumises au règlement et au suivi des banques centrales et d'autres institutions gouvernementales, il est devenu pratique courante d'effectuer des transactions de manière à ne pas figurer sur les bilans conventionnels et à ne pas être visible aux régulateurs. Par exemple, avant la crise financière de 2007, les banques d'investissement finançaient les emprunts de logement par moyen de titrisations hors bilan (off-balance sheet) et se protégeaient grâce aux couvertures de défaillance hors bilan.
Ils impliquent les entreprises de capital-investissement, les banques d'affaires, les agences de notation, des spéculateurs sur les matières premières, les chambres de compensation et des sociétés hors bilan.
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La crise financière mondiale de 2007-2008 est une crise financière, marquée par une crise de liquidité et parfois par des crises de solvabilité tant au niveau des banques que des États, et une raréfaction du crédit aux entreprises. Amorcée en , elle trouve son origine dans le dégonflement de bulles de prix (dont la bulle immobilière américaine des années 2000) et les pertes importantes des établissements financiers provoquées par la crise des subprimes.
At the micro-economic level, deleveraging refers to the reduction of the leverage ratio, or the percentage of debt in the balance sheet of a single economic entity, such as a household or a firm. It is the opposite of leveraging, which is the practice of borrowing money to acquire assets and multiply gains and losses. At the macro-economic level, deleveraging of an economy refers to the simultaneous reduction of debt levels in multiple sectors, including private sectors and the government sector.
Le système financier international est l'architecture normative et institutionnelle qui structure les échanges appartenance à la finance internationale. Ce système facilite la rencontre entre l'offre et la demande de capitaux (fonds prêtables), d'actifs financiers ou encore de devises. Le système monétaire international est la composante monétaire du système financier international, qui règle les échanges de devises. La mondialisation financière désigne l'internationalisation croissante de la finance et l'unification progressive des marchés financiers sur la planète.
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