The mass media in Syria consists primarily of television, radio, Internet, film and print. The national language of Syria is Arabic but some publications and broadcasts are also available in English and French. While television is the most popular medium in Syria, the Internet has become a widely utilized vehicle to disseminate content. Transcending all available media, the government seeks to control what Syrians see by restricting coverage from outside sources. Publications and broadcasts are monitored by members of the government. All mass media outlets are under the supervision of the Ministry of Information. Third article of the 2013 Information Ministry guidelines stipulate that purpose of all media outlets is "to enlighten public opinion" in line with the ideological doctrines "of the Arab Socialist Ba’ath Party and the policy of the state".
Following Ba'ath party's capture of power in 1963, the state immediately banned all news outlets except which advanced party propaganda. Syrians have had no exposure to free media or independent press since then, with there being no space for independent journalism, newspapers, publications, journalists or websites un-affiliated with party organizations. The situation has only worsened since 1970, with the Ba'athist dictatorship imposing additional censorship policies that furthered its totalitarian control of the society. State propaganda machine is primarily used to monopolise information access and indoctrinate the Syrian population in Ba'athist ideology.
Syria is one of the most dangerous places in the world for journalists and is ranked 175th (6th worst) in World Press Freedom Index. There were 28 journalists killed in combat in 2012. Between 2011 and 2020, more than 700 civilian journalists have been executed in Syria and 78% of them are estimated to have been to death by Ba'athist forces. More than 400 journalists were arrested or kidnapped in the course of the Syrian civil war.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
La guerre civile syrienne, aussi appelée révolution syrienne à ses débuts, est un conflit armé en cours depuis 2011 en Syrie. Elle débute dans le contexte du Printemps arabe par des manifestations majoritairement pacifiques en faveur de la démocratie contre le régime baasiste dirigé par le président Bachar el-Assad. Réprimé brutalement par le régime, le mouvement de contestation se transforme peu à peu en une rébellion armée. De nombreux belligérants participent au conflit qui connaît plusieurs phases.
vignette|En jaune, les régions contrôlées par les Kurdes en Syrie le . thumb|Carte des communautés religieuses et ethniques de la Syrie et du Liban. 1935 thumb|Carte des régions habitées par les Kurdes.La principale est située entre la Turquie, la Syrie, l’Iran et l’Irak. CIA 1986. thumb|À Pîrsûs les enfants réfugiés de Kobané, 2014 Le Rojava (« l'ouest » en kurde), ou Kurdistan occidental (Rojavayê Kurdistanê) ou Kurdistan syrien (کردستان السورية) ou Fédération démocratique du nord de la Syrie (الاتحاد الديمقراطي لشمال سوريا) (Federaliya Demokratîka Bakûrê Sûriyê), est une région rebelle autonome de fait dans le nord et le nord-est de la Syrie.
Raqqa, Racca, Rakka, Raqa, Raqqah, ar-Raqqa ou ar-Raqqah selon les systèmes de translittération (en arabe : ar), est une ville du centre de la Syrie. C'est la capitale éponyme du gouvernorat de Raqqa. Elle a également été la « capitale » syrienne de l'organisation djihadiste État islamique de 2014 à 2017 : c'est à Raqqa qu'ont été planifiés la plupart des attentats terroristes qui ont frappé l'Europe, et notamment ceux du 13 novembre 2015 à Paris.