Êtes-vous un étudiant de l'EPFL à la recherche d'un projet de semestre?
Travaillez avec nous sur des projets en science des données et en visualisation, et déployez votre projet sous forme d'application sur Graph Search.
Concept
Virus oncolytique
Résumé
An oncolytic virus is a virus that preferentially infects and kills cancer cells. As the infected cancer cells are destroyed by oncolysis, they release new infectious virus particles or virions to help destroy the remaining tumour. Oncolytic viruses are thought not only to cause direct destruction of the tumour cells, but also to stimulate host anti-tumour immune system responses. Oncolytic viruses also have the ability to affect the tumor micro-environment in multiple ways.
The potential of viruses as anti-cancer agents was first realised in the early twentieth century, although coordinated research efforts did not begin until the 1960s. A number of viruses including adenovirus, reovirus, measles, herpes simplex, Newcastle disease virus, and vaccinia have been clinically tested as oncolytic agents. Most current oncolytic viruses are engineered for tumour selectivity, although there are naturally occurring examples such as reovirus and the senecavirus, resulting in clinical trials.
The first oncolytic virus to be approved by a national regulatory agency was genetically unmodified ECHO-7 strain enterovirus RIGVIR, which was approved in Latvia in 2004 for the treatment of skin melanoma; the approval was withdrawn in 2019. An oncolytic adenovirus, a genetically modified adenovirus named H101, was approved in China in 2005 for the treatment of head and neck cancer. In 2015, talimogene laherparepvec (OncoVex, T-VEC), an oncolytic herpes virus which is a modified herpes simplex virus, became the first oncolytic virus to be approved for use in the United States and the European Union, for the treatment of advanced inoperable melanoma.
On December 16, 2022, the Food and Drug Administration approved nadofaragene firadenovec-vncg (Adstiladrin, Ferring Pharmaceuticals) for adult patients with high-risk Bacillus Calmette-Guérin (BCG) unresponsive non-muscle invasive bladder cancer (NMIBC) with carcinoma in situ (CIS) with or without papillary tumors.
Source officielle
À propos de ce résultat
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Unités associées (8)
Concepts associés (11)
Virus
Un virus est un agent infectieux nécessitant un hôte, souvent une cellule, dont les constituants et le métabolisme déclenchent la réplication. Le nom virus a été emprunté au par Ambroise Paré au latin . La science des virus est la virologie, et ses experts sont des virologues ou virologistes. On considère de plus en plus les virus comme faisant partie des acaryotes. Ils changent de forme durant leur cycle, passant par deux stades : Une phase extracellulaire sous forme de particule virale.
Immunologie des tumeurs
L’immunologie des tumeurs (appelée aussi immunologie anti-tumorale ou immuno-oncologie) et son but, l'immunothérapie des cancers, sont une branche de la biologie et de la médecine qui consiste à étudier les relations entre une tumeur et le système immunitaire de l'hôte, afin de concevoir des traitements anticancéreux capables d'exploiter la puissance potentielle d'une réaction immunitaire dirigée contre la tumeur.
Virothérapie
vignette|340px|Illustration d'un exemple de virothérapie (thérapie génique dans ce cas, utilisant un adénovirus comme vecteur)Un nouveau gène est inséré dans un vecteur qui est un adénovirus modifié, lequel est utilisé pour introduire l'ADN modifié dans une cellule humaine. Si le transfert se déroule correctement, le nouveau gène élaborera une protéine fonctionnelle qui pourra alors exprimer son potentiel thérapeutique.