En médecine, un spasme est toute forme de contraction musculaire involontaire.
Un tonus musculaire anormalement élevé localement, de manière durable et même sans mouvement peut également être une manifestation de spasticité.
Il s'agit donc d'un ensemble de phénomènes très différents les uns des autres, tant dans leurs causes que dans leurs manifestations.
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Les dystonies sont un groupe de maladies caractérisées par des troubles moteurs, regroupant la dystonie idiopathique de torsion (DIT) ou dystonie généralisée, les autres dystonies héréditaires, le blépharospasme, la dysphonie spasmodique, la dystonie secondaire à des lésions cérébrales et les dystonies en foyer. La dystonie frappe hommes et femmes, jeunes et vieux et les gens de toute origine. Elle n'est pas un trouble psychologique et elle n'affecte pas les facultés intellectuelles.
Selon le Dictionnaire Médical (2011), le tonus musculaire est l’état permanent de tension qui s’exerce sur les muscles afin de s’opposer à l’action de la gravité sur le corps humain. Pour évaluer le tonus musculaire, l’évaluateur mobilise passivement un segment du patient. Un tonus musculaire est dit normal si les angles mesurés lors de la mobilisation passive se situent à l’intérieur de limites normales prédéfinies et/ou si la mobilisation ne rencontre pas de résistance particulière ni de mollesse excessive.
La myoclonie (ou clonie, du grec klonos, agitation) est une contraction musculaire rapide, involontaire, de faible amplitude, d'un ou plusieurs muscles. Des myoclonies peuvent s'observer dans de nombreuses affections neurologiques, par exemple lors de crises d'épilepsie partielles ou généralisées (épilepsie caractéristique d'une atteinte de la zone de l'aire 4 de Brodmann) ou dans certaines encéphalopathies. Ces crises sont aussi appelées bravais-jacksoniennes (crises BJ).