Mahayana sutrasThe Mahāyāna sūtras are a broad genre of Buddhist scriptures (sūtra) that are accepted as canonical and as buddhavacana ("Buddha word") in Mahāyāna Buddhism. They are largely preserved in the Chinese Buddhist canon, the Tibetan Buddhist canon, and in extant Sanskrit manuscripts. Several hundred Mahāyāna sūtras survive in Sanskrit, or in Chinese and Tibetan translations. They are also sometimes called Vaipulya ("extensive") sūtras by earlier sources.
VasubandhuVasubandhu, (env. – siècles), moine bouddhiste gandharais, est l’un des fondateurs de l’école yogācāra avec son demi-frère Asanga et Maitreyanatha. Il est également le vingt-et-unième patriarche du Chan ou du zen. Il est souvent considéré comme un bodhisattva. Le terme sanskrit Vasubandhu signifie littéralement la bonne parenté, vasu bon ou excellent, et bandhu parenté.
PudgalavādinPudgalavādin (sanskrit ; pāli : puggalavādin), « individualistes », désigne plusieurs courants du bouddhisme ancien non-mahayana; notamment deux des dix-huit écoles anciennes: L'école Sammitīya (pāli : Sammitī ou Sammatiyā) L'école Vātsiputriya (pāli : Vajjiputtakā). Pour les pudgalavādin, l'individu n'est pas similaire aux traditionnels cinq agrégats (skandha), il existe une individualité distincte (pudgala) qui revêt des formes diverses dans des renaissances successives.
ParamitaPāramitā (sanskrit) ou pāramī (pāli), पारमिता (devanāgarī), qu'on traduit souvent par « perfection », signifie littéralement « aller au-delà » ou « atteindre l'autre rive », pāra signifiant aussi rive et but. On le traduit encore par « vertu transcendante » ou « vertu suprême ». Pāramitā désigne dans le bouddhisme la pratique d'une vertu qui, menée vers sa perfection, permet d’accéder à l’éveil, c’est-à-dire au nirvāṇa, ou à l’état de bodhisattva puis de bouddha.
VinayaLe Vinaya, « discipline » en pali et sanskrit (ch : jièlǜ 戒律 ; ja : kairitsu 戒律 ; ti : dulwa ou‘dul ba), est le corpus de textes bouddhiques ayant trait aux pratiques de la communauté monastique ou sangha noble. Il constitue, avec le dharma, corpus plus centré sur la théorie et essentiellement constitué de sutras, l’essentiel de l’enseignement que le Bouddha déclare laisser à ses disciples dans son « testament », le Mahāparinibbāna Sutta.
ChittamatraChittamatra (IAST : Cittamātra, « rien qu'esprit ») est l'une des écoles du bouddhisme Mahāyāna. Elle est parfois nommée Vijñānavāda (, Vijñāptimātra (), la conscience seule, ou encore Yogācāra (), pratiquants du yoga. Le Cittamātra constitue avec le Madhyamaka l'une des deux principales écoles spécifiques du bouddhisme mahāyāna. vignette|300px|Bouddha. Sarnath, époque Gupta vers 475. L'école Cittamātra apparaît au ; ses fondateurs seraient Maitreyanātha, Asanga et Vasubandhu.
Yi Jing (moine)Yi Jing (ou I Tsing, ou I Ching; chinois: 義淨, 三藏法師義淨 635-713) est un moine, pèlerin et traducteur bouddhiste chinois de la dynastie des Tang. Son vrai nom était Zhang Wen Ming (张文明). C'est notamment par ses écrits qu'on a connaissance du royaume de Sriwijaya dans le sud de l'île indonésienne de Sumatra, ainsi que d'un grand nombre de textes du bouddhisme et de l'université bouddhique de Nalanda en Inde. Il est le dernier des pèlerins chinois en Inde dont l’œuvre nous est parvenue.
PaliLe pali, ou pāli, est une langue indo-européenne de la famille indo-aryenne parlée autrefois en Inde. Les premiers textes bouddhiques, tipitaka, sont conservés dans cette langue, qui est utilisée encore aujourd'hui comme langue liturgique dans le bouddhisme theravada. Les mots pali et pāḷi ne se trouvent pas dans le canon bouddhique. Ils apparaissent dans les commentaires du moine et philosophe indien Buddhaghosa ().
AbhidharmakoshaL'Abhidharmakośakārikā ou les Versets sur le Trésor d'Abhidharma est un texte de l'Abhidharma rédigé en vers sanskrit par Vasubandhu au ou de notre ère. Il résume les principes de Sarvāstivādin en huit chapitres avec un total d'environ 600 versets. En Inde, au Tibet et en Asie de l'Est, ce texte est respecté et enseigné dans les écoles. Vasubandhu écrit un commentaire sur cette œuvre, appelé Abhidharmakośabhāsya. Dans ce document, il critique les interprétations des Sarvāstivādins, Vaibhasikas et d'autres des principes présentés dans ses œuvres précédentes dans une perspective Sautrāntika.
ShravakayanaShravakayana (sanskrit IAST : śrāvakayāna, ) est, selon le bouddhisme mahāyāna l'une des deux voies du petit véhicule ou hinayāna (l'autre étant le pratyekabuddhayāna). Ce « véhicule des auditeurs » est parfois considéré avec dédain par les adeptes du courant mahāyāna, car ses fidèles ne cherchaient pas à ce que tous les êtres atteignent le nirvāna. Les termes shrāvakayāna et bodhisattvayāna (le véhicule des bodhisattvas) sont plus anciens que leurs équivalents péjoratifs hinayāna (le véhicule déficient – hina) et mahāyāna.