En astronomie, une galaxie active est une galaxie abritant un noyau actif (plus précisément noyau actif de galaxie, abrégé NAG, ou , abrégé AGN). Ce noyau est une région compacte au centre de la galaxie, dont la luminosité est beaucoup plus intense que la normale dans au moins un domaine du spectre électromagnétique (ondes radio, infrarouge, lumière visible, ultraviolet, rayons X ou rayons gamma), et qui présente des caractéristiques montrant que cette forte luminosité n'est pas d'origine stellaire. Le rayonnement du NAG résulterait théoriquement de l'accrétion par un trou noir supermassif situé au centre de la galaxie-hôte. Les NAG sont les sources continues de rayonnement électromagnétique les plus lumineuses de l'Univers et, comme telles, permettent la détection d'objets distants ; leur évolution en fonction du temps cosmique constitue aussi une des contraintes des modèles cosmologiques.
thumb|upright=1.2|Modèle théorique des galaxies à noyau actif.
On a avancé depuis les années 1960 que les noyaux actifs de galaxies (NAG) devaient être alimentés par l'accrétion autour de trous noirs massifs (allant de 10 à 10 masses solaires). Les NAG sont à la fois compacts et extrêmement lumineux sur de longues périodes : l'accrétion peut provoquer une conversion efficace d'énergie potentielle et cinétique ; les trous noirs massifs ont une haute limite d'Eddington, ce qui peut expliquer le côté durable d'une telle luminosité du noyau. On pense que les trous noirs supermassifs n'existent pas systématiquement au centre d'une galaxie massive : la masse d'un trou noir est en corrélation étroite avec la dispersion des vitesses ou la luminosité du bulbe galactique. Ainsi, les caractéristiques des NAG sont observées chaque fois qu'une certaine quantité de matière approche la sphère d'influence du trou noir central.
Dans le modèle standard de NAG, des matériaux froids situés près du trou noir central forment un disque d'accrétion. Des processus dissipatifs dans celui-ci y transfèrent la matière vers l'intérieur et le moment angulaire vers l'extérieur, provoquant un échauffement du disque.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
We present the role of particle physics in cosmology and in the description of astrophysical phenomena. We also present the methods and technologies for the observation of cosmic particles.
Galaxy formation & evolution is about studying how galaxies in our Universe come into existence, how they evolve and what shapes their properties. This course describes the observational facts of gala
Introduction to time-variable astrophysical objects and processes, from Space Weather to stars, black holes, and galaxies. Introduction to time-series analysis, instrumentation targeting variability,
vignette|En haut : vue d'artiste d’un trou noir supermassif absorbant la matière environnante. En bas : images supposées d'un trou noir dévorant une étoile dans la galaxie . Photo en avec le télescope Chandra à gauche ; photo optique prise par le VLT de l'ESO à droite. Un trou noir supermassif (TNSM) est un trou noir dont la masse est de l'ordre d'un million de masses solaires ou plus. Il constitue l’un des quatre types de trous noirs avec les trous noirs primordiaux, les trous noirs stellaires, les trous noirs intermédiaires.
La Voie lactée, aussi nommée la Galaxie (avec une majuscule), est une galaxie spirale barrée qui comprend entre 200 et d'étoiles, et sans doute plus de de planètes. Elle abrite le Système solaire et donc la Terre. Son diamètre est estimé à , voire à ou à , bien que le nombre d'étoiles au-delà de soit très faible. Son cortège de galaxies satellites et elle font partie du Groupe local, lui-même rattaché au superamas de la Vierge appartenant lui-même à Laniakea.
L’astrophysique des hautes énergies est une branche de l'astrophysique traitant de l'observation du ciel par des messagers de hautes énergies qui sont les rayons X, les rayons gamma, les rayons cosmiques, les neutrinos et les ondes gravitationnelles. Elle étudie notamment les objets et phénomènes astrophysiques tels que les trous noirs, naines blanches, pulsars, novae, quasars, microquasars, galaxies de Seyfert, sursauts gamma... Rayonnement cosmique L'astronomie à haute énergie est marquée par la découverte du rayonnement cosmique au début du grâce à l'utilisation de ballon-sonde.
Be captivated by the exotic objects that populate the Radio Sky and gain a solid understanding of their physics and the fundamental techniques we use to observe them.
Ce cours décrit les principaux concepts physiques utilisés en astrophysique. Il est proposé à l'EPFL aux étudiants de 2eme année de Bachelor en physique.
Ce cours décrit les principaux concepts physiques utilisés en astrophysique. Il est proposé à l'EPFL aux étudiants de 2eme année de Bachelor en physique.
Explore la classification et les statistiques de l'AGN, des trous noirs, du modèle AGN unifié, de la variabilité, des mégamasers, de la mesure du mouvement orbital et de la cosmographie du retard.
IceCube Collaboration has previously reported evidence for a neutrino signal from a Seyfert galaxy NGC 1068. This may suggest that all Seyfert galaxies emit neutrinos. To test this hypothesis, we identify the best candidate neutrino sources among nearby Se ...
We report the identification of 64 new candidates of compact galaxies, potentially hosting faint quasars with bolometric luminosities of L-bol = 10(43)-10(46) erg s(-1), residing in the reionization epoch within the redshift range of 6 less than or similar ...
Edp Sciences S A2024
We study a new population of extremely red objects (EROs) recently discovered by the James Webb Space Telescope (JWST) based on their NIRCam colors F277W - F444W > 1.5 mag. We find 37 EROs in the Cosmic Evolution Early Release Science Survey (CEERS) field ...