Kappa OrionisKappa Orionis (κ Ori / κ Orionis), également nommée Saïph, est la étoile la plus brillante de la constellation d'Orion. Saïph (forme internationale : Saiph) est le nom propre de l'étoile qui a été approuvé par l'Union astronomique internationale le . Il s'agit d'un nom traditionnel qui vient de l'arabe saïf al jabbar, l'épée du géant. Le nom était attribué à l'origine par les arabes aux trois étoiles qui forment l'Épée d'Orion (θ, c et ι Ori). Il est attribué erronément à κ Ori par Giuseppe Piazzi dans son influent Catalogue des étoiles paru à Palerme au début du .
Star chartA star chart is a celestial map of the night sky with astronomical objects laid out on a grid system. They are used to identify and locate constellations, stars, nebulae, galaxies, and planets. They have been used for human navigation since time immemorial. Note that a star chart differs from an astronomical catalog, which is a listing or tabulation of astronomical objects for a particular purpose. Tools utilizing a star chart include the astrolabe and planisphere.
Photo-évaporationvignette|Vue d'artiste représentant l'évaporation d'Osiris. La photo-évaporation est la destruction partielle ou complète du disque protoplanétaire d'une étoile, ou de l'atmosphère d'une planète, par des photons de haute énergie et d'autres rayonnements électromagnétiques. L'atmosphère d'une planète est constamment bombardée par le rayonnement de l'étoile autour de laquelle elle orbite. Si un photon interagit avec une molécule de l'atmosphère, elle est accélérée et sa température augmente.
NébuleuseUne nébuleuse (du latin nebulosus, « flou », de nebula, « nuage ») est, en astronomie, un objet céleste composé de gaz raréfié, de plasma ou de poussières interstellaires. Avant les années 1920, le terme désignait tout objet du ciel d’aspect diffus. Étudiées par des astrophysiciens spécialisés dans l'étude du milieu interstellaire, les nébuleuses jouent un rôle clé dans la naissance des étoiles. vignette|Nébuleuse du Crabe, un rémanent de la supernova de l'an 1054.
Étoile bleue de la séquence principaleUne étoile bleue de la séquence principale est une étoile de type spectral O. Les étoiles de ce type ont une masse comprise entre 15 et 90 fois celle du Soleil et une température de surface comprise entre et . Elles sont à de fois plus lumineuses que le Soleil. Les étoiles bleues de la séquence principale sont rares : on estime en effet qu'il n'y en a pas plus de dans l'ensemble de la Voie lactée, soit autour de 1 pour d'étoiles. Toutes les étoiles de ce type sont jeunes, pas âgées de plus de quelques millions d'années.
Astronomie des Aborigènes d'AustralieL'astronomie des aborigènes d'Australie est un pan de la culture aborigène australienne relatif aux sujets astronomiques – comme le Soleil et la Lune, les étoiles, les planètes et la Voie Lactée, et leurs mouvements dans le ciel. La mythologie aborigène comprend de nombreuses composantes de l'astronomie. Ces traditions ont été transmises oralement par le biais de cérémonies et dans l'art. Les systèmes astronomiques montrent ainsi une compréhension approfondie du mouvement des objets célestes, qui leur a notamment servi à créer des calendriers et voyager via la Terre et par bateau.
Désignation de Bayerthumb|Gravure tirée de l'Uranometria de Johann Bayer et montrant la constellation d'Orion. Les étoiles sont désignées par une lettre grecque. La désignation de Bayer est, en astronomie, une désignation stellaire. Ces désignations ont été introduites par l'astronome Johann Bayer (1572-1625) dans son Uranometria, le premier atlas céleste couvrant toute la sphère céleste, paru à Augsbourg en 1603. Elles consistent le plus souvent en une lettre grecque suivie par le génitif du nom de la constellation où l'étoile se trouve.
Cocher (constellation)Le Cocher (Auriga en latin), et Εριχθονιος en grec, est une constellation de l'hémisphère nord. vignette|gauche|300px|La figure d’Auriga dans l’édition du Poeticon astronomicon d’Hyginus de 1482.. En Mésopotamie, nous avons dès le tournant du 2 millénaire, une étoile nommée mul.giš.GIGIR, ce qui donne en akkadien Narkabtu, « le Char de guerre ou de parade », nom que les astronomes affectent à β Tau. Bien que l’on ne retrouve pas cette appellation dans la Série MUL.