vignette|Le champ magnétique stellaire de surface (carte couleur-codée sur la sphère) de SU Aur, une jeune étoile de type T Tauri, imagé par , puis reconstruit (lignes de champ).
Les (étoiles) variables de type T Tauri sont des étoiles variables, nommées d'après l'étoile prototype T Tauri. Elles sont toujours situées auprès des nuages moléculaires et caractérisées par des variations brusques et imprévisibles de leur magnitude apparente.
Les étoiles ont été par Alfred H. Joy, astronome à l'observatoire du mont Wilson, en .
Les étoiles T Tauri sont parmi les plus jeunes qu'il soit possible de voir, âgées de 10 millions d'années au maximum, et avec une masse inférieure à 3 masses solaires. Elles sont en fait dans une phase intermédiaire entre le stade de proto-étoile et celui d'étoile de faible masse appartenant à la séquence principale, tel que le Soleil. Leur température de surface est similaire à celle des étoiles de même masse de la séquence principale, mais elles sont beaucoup plus lumineuses à cause de leur rayon nettement plus grand. La température au centre de l'étoile est trop faible pour démarrer le processus de fusion nucléaire de l'hydrogène, elle tirent donc leur énergie uniquement de l'énergie gravitationnelle libérée alors que l'astre se contracte, pour finalement atteindre la séquence principale après environ 100 millions d'années.
Ce type d'étoile est souvent entouré d'un disque d'accrétion, accumulé pendant le processus de formation de l'étoile. Les variations de luminosité de l'étoile peuvent être dues à des instabilités à l'intérieur du disque d'accrétion, à de violentes bouffées d'activité dans l'atmosphère de l'étoile, ou bien au nuage de gaz moléculaire environnant qui peut masquer l'éclat de l'étoile en s'interposant entre elle et l'observateur.
Ces étoiles tournent généralement sur elles-mêmes en 1 à 12 jours, le Soleil ayant par comparaison une période de rotation d'un mois.
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Ce cours décrit de façon simple les processus physiques qui expliquent l'univers dans lequel nous vivons. En couvrant une large gamme de sujets, le but du cours est aussi de donner un aperçu général d
thumb|Plusieurs disques protoplanétaires dans la nébuleuse d'Orion. thumb|Disque protoplanétaire autour de l'objet HH30, à une distance d'environ (), observé par le télescope spatial Hubble. (NASA/ESA/STScI) thumb|Image de L1527 IRS prise en 2022 par le télescope spatial James-Webb. Au centre, on observe son disque protoplanétaire. Un disque protoplanétaire est un constitué de gaz et de poussières à partir duquel se forment les corps (planètes, planètes naines, petits corps et leurs satellites).
L’accrétion est, en astrophysique, en géologie, en médecine et en météorologie, la constitution et l'accroissement d'un corps, d'une structure ou d'un objet, par apport et/ou agglomération de matière, généralement en surface ou en périphérie de celui-ci. L'accrétion désigne la capture de matière par un astre sous l'effet de la gravitation. L'accrétion a lieu dans de nombreux contextes astrophysiques, lorsqu'un objet compact est situé dans un environnement de matière diffuse, notamment : les étoiles en formation ; les planètes en formation ; les novae ; les trous noirs, en particulier dans les noyaux actifs de galaxies.
En astronomie, un système planétaire est un système composé de planètes, ainsi que de divers corps célestes inertes tels des astéroïdes et comètes, gravitant autour d'une étoile. Le Système solaire est un exemple de système planétaire. Par extension et de façon impropre, le terme « système solaire » est parfois employé pour désigner d’autres systèmes planétaires. Le premier système planétaire découvert autour d'une étoile de type solaire en dehors du Système solaire (système planétaire extrasolaire ou système exoplanétaire) est celui de l'étoile en 1995.
Ce cours décrit les principaux concepts physiques utilisés en astrophysique. Il est proposé à l'EPFL aux étudiants de 2eme année de Bachelor en physique.
Ce cours décrit les principaux concepts physiques utilisés en astrophysique. Il est proposé à l'EPFL aux étudiants de 2eme année de Bachelor en physique.
Couvre l'évolution stellaire, les processus de fusion et l'âge des amas stellaires, en mettant l'accent sur les pressions de gaz et l'évolution des étoiles en fonction de la masse.
We report the discovery of 15 exceptionally luminous 10 less than or similar to z less than or similar to 14 candidate galaxies discovered in the first 0.28 deg(2) of JWST/NIRCam imaging from the COSMOS-Web survey. These sources span rest-frame UV magnitud ...
We combine deep imaging data from the CEERS early release JWST survey and Hubble Space Telescope imaging from CANDELS to examine the size-mass relation of star-forming galaxies and the morphology-quenching relation at stellar masses M-star >= 10(9.5)M(circ ...
The radial metallicity distribution of the Milky Way's disc is an important observational constraint for models of the formation and evolution of our Galaxy. It informs our understanding of the chemical enrichment of the Galactic disc and the dynamical pro ...