vignette|Soldats lituaniens de l'ISAF en Afghanistan.
vignette|La corvette Aukštaitis de classe Grisha III de la force navale lituanienne en 2003.
vignette|Bateau de la force navale lituanienne
L'armée lituanienne est forte de près de actifs (environ d'entre eux sont des civils) et de . La conscription prit fin en septembre 2008 mais est rétablie en 2015. Le ministère de la défense est responsable des forces armées lituaniennes.
Les sont sous la tutelle du ministère de l'Intérieur et sont responsables de la protection des frontières.
Le , au début de la campagne de Russie, Napoléon après avoir conquis la Lituanie décide la création d'une armée lituanienne composé en théorie de 5 régiments d’infanterie () et de 4 régiments de cavalerie (), d'autres unités furent créés par la suite pour être intégré à la Grande Armée. Le recrutement fut difficile en raison du manque d’hommes, de ravitaillement et de chevaux, déjà réduits par les levées de l'armée impériale russe. Elle disparaitra à la suite de la retraite française et de la reconquête de l'ensemble des pays baltes par la Russie (Estonie, Lettonie et Lituanie).
L'armée lituanienne contemporaine fut fondée le lorsque ce pays se déclara indépendant de l'ancien empire russe plongé dans la guerre civile le 16 février 1918. Son ministre de la défense puis chef d'état-major est Silvestras Žukauskas. Elle parvient à faire reconnaitre l'indépendance à la suite des trois guerres d'indépendance lituaniennes de décembre 1918 à novembre 1920 dont la guerre polono-lituanienne tout en perdant Vilnius et sa région occupées par la Pologne à partir de 1920.
En décembre 1926, un coup d'État militaire renverse le premier gouvernement de gauche mis en place en juin et donne le pouvoir à l'ancien président Antanas Smetona. L'armée lituanienne fut dissoute lors de son annexion par l'URSS le après que l'Armée rouge avec quinze divisions soit un total de franchissent la frontière lituanienne le 15 juin 1940 à la suite d'un ultimatum.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Kaunas (, Kowno, Kauen) est la deuxième ville de Lituanie et le plus important port fluvial des pays baltes, sur le Niémen. Elle est aussi la capitale administrative de l'apskritis de Kaunas. Sa population s'élevait à habitants en 2021. L'architecture moderne de l'entre-deux-guerres est proposée en 2017 pour une inscription au patrimoine mondial et figure sur la « liste indicative » de l'UNESCO dans la catégorie patrimoine culturel. Fondée avant l’an 1000 , cette ville fut fortifiée par les Lituaniens aux pour résister aux chevaliers teutoniques.
thumb|Drapeau du territoire de Memel entre 1919 à 1924, puis de facto jusqu'en 1939. Le territoire de Memel (en allemand Memelland) ou région de Klaipėda (en lituanien Klaipėdos kraštas) est une région située autour de l'actuelle ville lituanienne de Klaipėda qui bénéficia d'un statut particulier entre 1920 et 1939. Ancienne région du royaume de Prusse situé dans la province de Prusse-Orientale, majoritairement peuplée de germanophones, le territoire de Memel fut créé après la Première Guerre mondiale par le traité de Versailles, puis placé par la Société des Nations sous administration française.
La révolte de Klaipėda eut lieu du 10 au dans la région de Klaipėda (Territoire de Memel), alors sous mandat de la Société des Nations depuis 1919. Séparé de la Prusse-Orientale lors du Traité de Versailles en 1919, le territoire avait alors été provisoirement confié à l'administration française. La Lituanie demandait en revanche le rattachement de Klaipėda à son propre territoire, se basant sur son appartenance historique à la Petite Lituanie et la présence d'une majorité lituanophone, les Lietuvininkai.