In the context of the United States, secession primarily refers to the voluntary withdrawal of one or more states from the Union that constitutes the United States; but may loosely refer to leaving a state or territory to form a separate territory or new state, or to the severing of an area from a city or county within a state. Advocates for secession are called disunionists by their contemporaries in various historical documents.
Threats and aspirations to secede from the United States, or arguments justifying secession, have been a feature of the country's politics almost since its birth. Some have argued for secession as a constitutional right and others as from a natural right of revolution. In Texas v. White (1869), the Supreme Court ruled unilateral secession unconstitutional, while commenting that revolution or consent of the states could lead to a successful secession.
The most serious attempt at secession was advanced in the years 1860 and 1861 as 11 Southern states each declared secession from the United States, and joined together to form the Confederate States of America, a procedure and body that the government of the United States refused to accept. The movement collapsed in 1865 with the defeat of Confederate forces by Union armies in the American Civil War.
In the history of the United States, the only territories to have been withdrawn from the country are the small portions of the Louisiana Purchase north of the 49th parallel north, established as the U.S.–British (now Canadian) border by the Treaty of 1818; and the territory of the Commonwealth of the Philippines, which became independent after the Treaty of Manila. The former is today part of Canada, while the latter corresponds to the Republic of the Philippines.
Boundaries of U.S. territories, such as the Nebraska Territory, were not defined precisely. The boundaries of each new state are set in the document admitting the former territory to the Union as a state, which Congress must approve. There is only one instance in U.S.
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L'élection présidentielle américaine de 2012, pourvoyant à la du président des États-Unis, élu pour un mandat courant de 2013 à 2017, se tient le . Elle voit la réélection du président démocrate sortant Barack Obama, opposé à Mitt Romney, choisi par le Parti républicain. Les autres candidats investis par des partis mineurs ou dits « indépendants » recueillent des scores mineurs. Obama remporte ce scrutin malgré une perte de trois millions et demi de voix en quatre ans, fait rare pour un sortant réélu ; l'étiquette républicaine recueille à peu près autant de voix qu'en 2008.
ou est une formule utilisée lors d'un discours devant le Sénat des États-Unis en 1858 par James Henry Hammond (1807-1864) planteur de coton de Caroline du Sud, qui a ensuite plaidé pour la sécession de la Caroline du Sud peu avant la guerre de Sécession. Cette formule signifiait selon lui que la puissance des grands planteurs de coton du Sud des États-Unis leur permettrait de triompher du Nord et de continuer à dicter leur loi. Le Sud disposait de l'arme du coton pour se faire entendre des nouvelles puissances industrielles utilisant sa matière première.
Cet article retrace la chronologie de l'évolution territoriale des États-Unis. Il liste les modifications géographiques intérieures et extérieures de ce pays. Après la déclaration d'indépendance de 1776, reconnue en 1783 par le traité de Paris, les États-Unis s'étendirent vers l'ouest, élargissant leurs territoire à sept reprises, dont deux par incorporations majeures de colonies britanniques et espagnoles. L'union des treize États originaux s'accrût jusqu'à comprendre cinquante États, dont la plupart avaient débuté comme de simples territoires.