Royale-les-Eaux

Royale-les-Eaux is a fictional town in northern France. It features in the James Bond novels of Ian Fleming and others, particularly Casino Royale (1953) and On Her Majesty's Secret Service (1963). Royale-les-Eaux is a seaside resort, described in Casino Royale as being "just north of Dieppe" and lying "near the mouth of the Somme before the flat coastline soars up from the beaches of southern Picardy to the Normandy cliffs which run on to Le Havre". This would seem to place the town in the département of Somme, which takes its name from the river, but a telegram addressed to Bond in the same novel gives the département as the more southerly Seine-Inférieure (which was renamed Seine-Maritime on 18 January 1955). References in On Her Majesty's Secret Service suggest yet another département: when driving northwards along the N1 (now the D901), James Bond passes a Michelin road sign saying "Montreuil 5, Royale-les-Eaux 10, Le Touquet-Paris-Plage 15". After passing through Montreuil and over the Étaples-Paris railway just to the north of the town, the turning for Royale-les-Eaux is on the left. This would put Royale-les-Eaux on the coast just south of Le Touquet, perhaps in the vicinity of Stella-Plage, and in the département of Pas-de-Calais, to the north of Somme. The town's history is outlined in Casino Royale. Formerly just a small fishing village named "Royale", it rapidly became fashionable as a tourist destination during the Second Empire. However the subsequent rise in popularity of Le Touquet meant a loss in custom for Royale. A parallel is drawn between the history of Royale and that of Trouville, a once-popular destination which was eclipsed by Deauville. The fortunes of Royale seemed to be recovering at the turn of the 20th century, when a spring in the hills behind the town was found to contain enough sulphur to make it marketable as mineral water. Royale reinvented itself as a spa town, renamed itself "Royale-les-Eaux" and began exporting "Eau Royale", in a torpedo-shaped bottle.

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Charpentes d'observation et d'introspection, entre les monts, les eaux et la ville

Zhongqu Lin

Guilin, une ville de petite taille à l'échelle de la Chine, est connue pour son paysage naturel couvert de monts escarpés, d'eaux scintillantes et pour la beauté du paysage agricole. La ville se compose de cinq reliefs: un vert naturel (monts), un vert agricole (rizières), un bleu naturel (eau), un bleu agricole (étangs de lotus) et «la façon dont on passe du vert au bleu en donnant naissance au gris.» [godard, j.-l.]. Ces paysages miraculeux, situés notamment à l'extérieur de la ville, sont largement loués par les médias, contrairement au visage urbain de la ville qui reste, lui, souvent inconnu. Cependant, les relations frictionnelles entre le décor naturel vaporeux et la densité de l'urbain construit forment un environnement authentique. L'enjeu du projet se situe alors dans cette transition entre le paysage et la ville, exposant un ensemble avec sa propre délicatesse. Situé dans la densité du centre-ville, le projet offre un parcours composé de charpentes d'observation et d'introspection: un jardin, un belvédère et une passerelle. Parcours à travers lequel l'enfant curieux de tous âges pourra rencontrer le paysage spéculé, découvrir l'urbain inconnu, et façonner son imaginaire de la ville et de la nature. L'attitude d'une intervention à petite échelle se justifie d'autant plus dans une Chine où l'on privilégie le développement à grande échelle au détriment du confort personnel, ou encore la sophistication obsolète plutôt que la fonctionnalité rationnelle.

2015