Simplicité volontaireLa simplicité volontaire (ou sobriété volontaire) est un mode de vie consistant à réduire intentionnellement sa consommation. D'un point de vue intellectuel, voire spirituel, l'objectif serait celui de mener une vie davantage centrée sur des valeurs définies comme « essentielles ». Cet engagement personnel ou associatif découle de multiples motivations qui peuvent donner la priorité à des actions justes, des valeurs morales, qui déterminent alors les structures familiales, communautaires ou les choix écologiques.
Simplicité volontaireLa simplicité volontaire (ou sobriété volontaire) est un mode de vie consistant à réduire intentionnellement sa consommation. D'un point de vue intellectuel, voire spirituel, l'objectif serait celui de mener une vie davantage centrée sur des valeurs définies comme « essentielles ». Cet engagement personnel ou associatif découle de multiples motivations qui peuvent donner la priorité à des actions justes, des valeurs morales, qui déterminent alors les structures familiales, communautaires ou les choix écologiques.
SurconsommationLa surconsommation désigne un niveau de consommation situé au-dessus de celui des besoins normaux ou d'une consommation moyenne. Au-delà d'un certain seuil, la surconsommation est un facteur de surexploitation de ressources naturelles, pas, peu, difficilement, dangereusement ou lentement renouvelables. Quand une de ces ressources épuisées ne peut plus être remplacée par une autre, des besoins primaires peuvent ne plus pouvoir être assurés.
Croissance économiquethumb|upright=2|Contribution (en %) de la croissance des pays à celle mondiale (2011). La croissance économique désigne la variation positive de la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée, généralement une longue période. En pratique, l'indicateur le plus utilisé pour la mesurer est le produit intérieur brut (PIB). Il est mesuré « en volume » ou « à prix constants » pour corriger les effets de l'inflation. Le taux de croissance, lui, est le taux de variation du PIB.
Économie écologiquethumb|400px|Les ressources naturelles traversent l'économie et finissent comme des déchets et de la pollution L’économie écologique est une branche de l'économie en interface avec l'écologie, étudiant l'interdépendance et la coévolution entre les sociétés humaines et les écosystèmes dans le temps et l'espace. L'intérêt de ces recherches est de pouvoir guider l'action des acteurs économiques (publics et privés) afin d'assurer un développement durable, c'est-à-dire conciliant progrès économique, justice sociale, et préservation de l'environnement, tout en mettant la priorité sur ce dernier point.
Croissance non-économiqueLa croissance non-économique, dans la théorie du développement humain, l'économie du bien-être (l'économie du bien-être social) et certaines formes de l'économie écologique, est la croissance économique qui provoque un déclin de la qualité de vie. Le concept est attribué à l'influent économiste écologique et théoricien de l'état stationnaire Herman Daly, bien que d'autres théoriciens puissent également être considérés à l'origine de ce concept.
Économie féministeL'économie féministe est une étude critique de la science économique dans les domaines de la méthodologie, de l'épistémologie et de la recherche empirique dans une tentative de surmonter les biais androcentrés (mâle et patriarcal).
Économie verteL'économie verte est l'activité économique . Ce modèle économique obéit aux règles, aux principes et aux critères du développement durable. Les autres modèles économiques peuvent parfois être qualifiés de gris ou noirs ; conduisant aux pollutions, au gaspillage et/ou à l'épuisement des ressources non renouvelables, et à la destruction de l'environnement, ou rouges dans le cas où l'on tire profit de la vente des armes par exemple.
Critiques du capitalismeLes critiques du capitalisme sont l'ensemble des remises en cause à l'encontre du capitalisme, dans toutes ses dimensions (économie, sociale, environnementale...). Les critiques du capitalisme peuvent aller d'expressions de désaccords sur certains aspects du capitalisme à une remise en cause intégrale. La critique du capitalisme a pu prendre des formes sociales telles que des partis politiques ou des mouvements sociaux. Les plus radicaux se donnent pour but la fin du capitalisme, ou encore son dépassement par un nouveau système économique.
Indicateur de progrès véritableL'indicateur de progrès véritable (IPV) est un indicateur alternatif au produit intérieur brut (PIB) ou à l'indice de développement humain (IDH) pour tenter de mesurer l'évolution du bien-être réel d'un pays. Alors que le PIB ne mesure que l'activité économique monétaire, l'indicateur de progrès véritable : ajoute au PIB la valeur estimée des activités économiques non monétaires, comme le travail domestique ou les activités bénévoles ; retranche du PIB la valeur estimée des richesses naturelles perdues (dommages à l'environnement, destruction des ressources non renouvelables, etc.