Les sont de nouveaux mouvements religieux du Japon. Beaucoup d'entre eux sont des syncrétismes entre la pensée traditionnelle japonaise et la pensée occidentale. On distingue généralement les shinshūkyō, créés avant la Seconde Guerre mondiale, des , plus récentes. vignette|Happy Science. D'une manière générale, on peut classer ces sectes en différentes catégories: les sectes d'inspiration shintoïste, comme Konkokyo ou Omoto Kyo, avec à leur tête une personne inspirée par un kami ; les sectes dérivées du bouddhisme de Nichiren et basées sur le sūtra du Lotus, comme le bouddhisme Reiyukai, la Sōka Gakkai ou le Risshō Kōsei Kai ; les sectes se réclamant du bouddhisme ésotérique Shingon comme le mouvement Shinnyo-En ; les syncrétismes mêlant shintoïsme et bouddhisme, comme Sūkyō Mahikari ou Tenrikyō, avec à leur tête une personne inspirée par un dieu ou un kami ; enfin les sectes mêlant divers aspects (bouddhisme de tous courants, hindouisme, etc.) et se retrouvant autour d'une figure emblématique, comme ce fut le cas pour la secte terroriste Aum Shinrikyo, désormais appelée Aleph. La situation est encore compliquée par le fait que les grandes écoles bouddhistes, en raison du système des lignées, sont elles-mêmes subdivisées en une multitude d'écoles et de courants. Il y avait ainsi plus de religieuses répertoriées au Japon en 2005, dont n'appartenaient ni au shintoïsme, ni au bouddhisme, ni au christianisme. Aleph Église de la liberté parfaite Happy Science Konkokyo Ōmoto Reiyukai Risshō Kōsei Kai Seicho-No-Ie Shinnyo-En Sōka Gakkai Sūkyō Mahikari Tenrikyo Religion au Japon Bouddhisme au Japon Shintoïsme Terrorisme au Japon (Vraie Lumière), fondateur : (1901-1974) Peter B. Clarke, A Bibliography of Japanese New Religious Movements: With Annotations, Richmond, Curzon, 1999. Peter B. Clarke, Japanese New Religions: In Global Perspective, Richmond, Curzon, 2000. Benjamin Dormann, Celebrity Gods: New Religions, Media, and Authority in Occupied Japan, Honolulu, University of Hawaiʻi Press, 2012.