Biofortification is the idea of breeding crops to increase their nutritional value. This can be done either through conventional selective breeding, or through genetic engineering. Biofortification differs from ordinary fortification because it focuses on making plant foods more nutritious as the plants are growing, rather than having nutrients added to the foods when they are being processed. This is an important improvement on ordinary fortification when it comes to providing nutrients for the rural poor, who rarely have access to commercially fortified foods. As such, biofortification is seen as an upcoming strategy for dealing with deficiencies of micronutrients in low and middle-income countries. In the case of iron, the WHO estimated that biofortification could help curing the 2 billion people suffering from iron deficiency-induced anemia.
Plants are bred using one of two main methods:
Using this method, plant breeders search seed or germplasm banks for existing varieties of crops which are naturally high in nutrients. They then crossbreed these high-nutrient varieties with high-yielding varieties of crops, to provide a seed with high yields and increased nutritional value. Crops must be bred with sufficient amounts of nutrients to have a measurable positive impact on human health. As such, they must be developed with the involvement of nutritionists who study whether the consumers of the improved crop can absorb the extra nutrients, and the extent to which storage, processing, and cooking of the crops affect their available nutrient levels. Bread wheat with high grain iron and zinc has been developed through radiation breeding.
This method is prevalent at present, as it is less controversial than genetically engineering crops. HarvestPlus, a major NGO in the development of biofortified crops, primarily use conventional breeding techniques, and have not yet spent more than 15% of their research budget on genetically modified crops when conventional methods fail to meet nutritional requirements.
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La culture sélective des plantes, ou sélection végétale ou amélioration des plantes, est le processus par lequel l'être humain modifie une espèce végétale. Cette sélection peut avoir différents buts, dont l'adaptation à un usage agricole ou l'élaboration de variétés décoratives pour l'horticulture. Les critères visés sont divers et dépendent de l'utilisation finale de l'espèce ciblée; du point de vue agronomique il s'agit généralement d'améliorer la productivité, de modifier le goût, les qualités nutritionnelles, l'apparence ou encore la résistance aux maladies et aux insectes ravageurs.
vignette |Le bol au fond à droite contient du riz doré, exemple de biofortification par génie génétique. La couleur dorée des grains provient de la teneur accrue en bêta-carotène. La biofortification consiste à sélectionner des variétés de plantes cultivées dans le but d'augmenter leur valeur nutritionnelle. Cela peut être fait soit par sélection conventionnelle (haricot commun, patate douce à chair orange), soit par génie génétique (cas emblématiques du riz doré, de la banane transgénique enrichie en fer).
Les organismes génétiquement modifiés (OGM) provoquent de nombreux débats qui sont sortis des mondes agricole, économique et scientifique pour toucher les sphères politique, philosophique, médiatique et juridique. Les débats sur les OGM concernent trois thèmes principaux : le bien-fondé des modifications génétiques par l'être humain les processus utilisés pour créer et expérimenter des OGM l'utilité et les risques dans leur domaine d'application Les OGM sont source de grandes divergences d’opinion, qui conduisent à une absence de consensus au sein des opinions publiques nationales ; les craintes sur les risques sanitaires qu'ils pourraient générer et sur une éventuelle atteinte à la biodiversité entrent en conflit avec les avantages mis en avant des OGM.