The six-party talks aimed to find a peaceful resolution to the security concerns as a result of the North Korean nuclear weapons program.
There was a series of meetings with six participating states in Beijing:
China
Japan
North Korea
South Korea
Russia
United States
These talks were a result of North Korea withdrawing from the Nuclear Non-Proliferation Treaty (NPT) in 2003. Apparent gains following the fourth and fifth rounds were reversed by outside events. Five rounds of talks from 2003 to 2007 produced little net progress until the third phase of the fifth round of talks, when North Korea agreed to shut down its nuclear facilities in exchange for fuel aid and steps towards the normalization of relations with the United States and Japan. Responding angrily to the United Nations Security Council's Presidential Statement issued on April 13, 2009 that condemned the North Korean failed satellite launch, the DPRK declared on April 14, 2009 that it would pull out of Six Party Talks and that it would resume its nuclear enrichment program in order to boost its nuclear deterrent. North Korea also expelled all nuclear inspectors from the country.
The main points of contention were:
Security guarantee – this issue has been raised by North Korea since the Bush administration (2001–2009) took office. North Korea labeled the Bush administration as hostile and accused it of planning to overthrow the North Korean government by force. This concern was elevated when President George W. Bush named North Korea as part of an "axis of evil" in his 2002 State of the Union Address.
The construction of light water reactors – under the 1994 Agreed Framework two light-water reactors would be built in return for the closure of North Korea's graphite-moderated nuclear power plant program at Yongbyon. This agreement broke down after both sides defaulted, especially since 2002.
Peaceful use of nuclear energy – whilst the NPT allows states the right to use nuclear energy for civilian purposes, this was thought to have been used by North Korea as a cover for their nuclear weapons program.
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Kim Il-sung (en coréen : 김일성, prononcé : ), ou Kim Il Sŏng, né le et mort le , est un homme d'État nord-coréen. Fondateur et premier dirigeant de la Corée du Nord en 1948, il dirigea le pays jusqu'à sa mort. En 1998, l'Assemblée populaire suprême le proclame « président éternel de la République ». Kim Il-sung occupa les postes de Premier ministre de 1948 à 1972 et de président de la République à partir de 1972, tout en dirigeant sans interruption jusqu'à sa mort le Parti du travail de Corée.
thumb|Pays membres des pourparlers à six. thumb|Table des pourparlers à six. Les pourparlers à six désignent une série de rencontres entre six États - la république populaire de Chine, la Corée du Sud, Corée du Nord, les États-Unis, la fédération de Russie et le Japon. Ces pourparlers s'organisèrent en conséquence du retrait de la Corée du Nord du traité de non-prolifération nucléaire (TNP) en 2003. Le but de ces discussions est de trouver une issue pacifique aux inquiétudes de sécurité soulevées par le programme nucléaire nord-coréen.
La Corée du Nord a un programme d'armement nucléaire militaire et, au début de 2019, on estime qu’elle dispose d’un arsenal d’environ 20 à 30 armes nucléaires et de suffisamment de matières fissiles pour 30 à 60 armes nucléaires supplémentaires. La Corée du Nord a également stocké une quantité importante d’armes chimiques et biologiques. En 2003, la Corée du Nord s'est retirée du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).