vignette|555x555px|Thème du troisième mouvement de la sonate pour piano dite de Beethoven, qui est un rondo.
En musique, le rondo (ou rondeau durant la période baroque) est une forme musicale (et également un genre quand il se présente en pièce isolée) fondée sur l'alternance entre une partie récurrente (parfois appelée refrain) et d'épisodes contrastants (parfois appelés couplets). Schématiquement, un rondo se représente ainsi :
A / B / A / C / A / D / A / coda
où A est le thème principal et B, C et D les épisodes contrastants. Le rondo est une forme utilisée généralement dans les derniers mouvements des sonates, symphonies, concertos, divertimentos ou toutes œuvres de musique de chambre. Le rondo est le plus souvent d'un tempo rapide (Allegro, voire Presto ou Vivace) et d'un caractère gai et enjoué. Sa simplicité thématique est fréquemment contrebalancée par une recherche de virtuosité démontrant la maîtrise du ou des exécutants.
La partie récurrente, quittant rarement la tonalité principale, débute et termine la consécution d'ordinaire suivie d'une coda. Les épisodes sont thématiquement et rythmiquement contrastés, dans les tons voisins, empruntant parfois à l'écriture de la variation. Certains compositeurs ont complexifié cette forme, la fondant dans la forme sonate.
À l'époque baroque, le terme de rondeau ne désigne d'abord que le refrain (la partie qui revient plusieurs fois), avant de désigner l'ensemble de la pièce. Cette forme a une structure basique très simple : ABACA (on croise également ABACADA voire ABACADAEA), avec potentiellement l'adjonction d'une coda (Le Tic-Toc-Choc de François Couperin pour clavecin par exemple).
Les musiciens français de cette époque font un usage fréquent du principe du rondeau, appliqué aux danses de la suite (gavotte en rondeau, menuet en rondeau, etc.).
Le rondeau est présent dans les suites de danses (Marin Marais), la musique de chambre (les Concerts royaux de François Couperin) et dans l'opéra baroque (Rameau, Les Indes galantes).
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Le terme forme désigne, dans le domaine musical, la structure d'une œuvre musicale. Le travail d'analyse des œuvres musicales a notamment pour tâche de comprendre la forme des œuvres, qui peut être très simple (forme strophique, forme couplet-refrain) ou très complexe. Évidemment, le terme structure doit se comprendre à plusieurs niveaux, c'est-à-dire qu'une œuvre musicale pourra avoir une forme générale en un ou plusieurs mouvements, dans l'un des mouvements il y aura une forme en plusieurs sections, et dans chaque section il y aura des phrases distinctes.
En musique, la variation consiste à apporter des modifications à un « thème ». Les modifications peuvent être de différentes natures : mélodique : le thème subit une modification telle qu'on le reconnaît, plus ou moins, malgré des intervalles différents ; rythmique : on modifie les valeurs relatives des notes, de façon homogène ou pas ; harmonique : on modifie de façon plus ou moins sensible la tonalité et l'harmonie accompagnant le thème. Ces divers modes de variations peuvent se combiner l'un à l'autre, le thème initial pouvant alors devenir presque méconnaissable.
La Sérénade (ne pas confondre avec la serenata) est, dans son sens le plus commun, une composition ou une représentation musicale en l'honneur de quelqu'un jouée, comme l'origine de son nom l'indique, en soirée (opposée à l'aubade, jouée plutôt en matinée). En général, trois catégories de sérénades sont présentes dans l'histoire de la musique : Dans la forme la plus ancienne, qui survit encore aujourd'hui, la sérénade est une composition jouée afin de séduire une personne, sous ses fenêtres.
The a/c domain pattern of tetragonal PbZr0.10Ti0.90O3 thin films under tensile misfit strain is investigated by piezoresponse force microscopy and X-ray diffraction. The results show a hierarchical ordering of the dense a/c domain structure into larger sup ...