Théorie de jaugeEn physique théorique, une théorie de jauge est une théorie des champs basée sur un groupe de symétrie locale, appelé groupe de jauge, définissant une « invariance de jauge ». Le prototype le plus simple de théorie de jauge est l'électrodynamique classique de Maxwell. L'expression « invariance de jauge » a été introduite en 1918 par le mathématicien et physicien Hermann Weyl. La première théorie des champs à avoir une symétrie de jauge était la formulation de l'électrodynamisme de Maxwell en 1864 dans .
Neutrino stérileLe neutrino stérile est un type hypothétique de neutrino qui n'interagit via aucune des interactions fondamentales du modèle standard de la physique des particules, hormis la gravité. C'est un neutrino dextrogyre (autrement dit à chiralité droite) léger ou bien un antineutrino lévogyre qui pourrait s'ajouter au modèle standard, et prendre part aux phénomènes tels que le mélange des neutrinos. Le terme neutrino stérile est utilisé pour le distinguer du neutrino actif du modèle standard, qui dispose d'une charge pour l'interaction faible.
Symétrie (physique)En physique la notion de symétrie, qui est intimement associée à la notion d'invariance, renvoie à la possibilité de considérer un même système physique selon plusieurs points de vue distincts en termes de description mais équivalents quant aux prédictions effectuées sur son évolution. Une théorie physique possède alors une symétrie S, si toute équation dans cette théorie décrit tout aussi correctement une particule ρ qu'une particule -ρ 'symétrique' de ρ.
Mécanisme de see-sawLe mécanisme de see-saw, mécanisme de la balancoire ou mécanisme à bascule, en théorie quantique des champs, permet de générer de très petits nombres à partir de nombres « raisonnables » et de grands nombres. Ce mécanisme apparaît notamment dans les théories de grande unification, et en particulier pour expliquer les masses des neutrinos et leur oscillation. Ce modèle produit un neutrino léger, pour chacune des trois saveurs de neutrinos connues, et un neutrino stérile, très lourd et encore non découvert.
Particle physics and representation theoryThere is a natural connection between particle physics and representation theory, as first noted in the 1930s by Eugene Wigner. It links the properties of elementary particles to the structure of Lie groups and Lie algebras. According to this connection, the different quantum states of an elementary particle give rise to an irreducible representation of the Poincaré group. Moreover, the properties of the various particles, including their spectra, can be related to representations of Lie algebras, corresponding to "approximate symmetries" of the universe.
X (charge)En physique des particules, la charge X (notée X) est un nombre quantique conservé lors des interactions élémentaires associé à la théorie de la grande unification. Du fait que la charge X est liée à l'hypercharge faible, elle varie en fonction de l'hélicité d'une particule. Par exemple, pour un quark d'hélicité gauche, , alors que pour un quark d'hélicité droite, (pour les quarks up, charm et top), ou (pour les quarks down, strange et bottom). X peut se calculer à partir de la différence B-L et de l'hyper
Unitarity gaugeIn theoretical physics, the unitarity gauge or unitary gauge is a particular choice of a gauge fixing in a gauge theory with a spontaneous symmetry breaking. In this gauge, the scalar fields responsible for the Higgs mechanism are transformed into a basis in which their Goldstone boson components are set to zero. In other words, the unitarity gauge makes the manifest number of scalar degrees of freedom minimal. The gauge was introduced to particle physics by Steven Weinberg in the context of the electroweak theory.
Hypercharge faibleL' est, en physique des particules, un nombre quantique correspond à deux fois la différence entre la charge électrique et l'isospin faible. C'est le générateur du composant U(1) du groupe de jauge électrofaible, SU(2)xU(1). Dans une relation semblable à la formule de Gell-Mann–Nishijima, on a : où Q est la charge électrique (dans les unités de la charge élémentaire), Tz est l'isospin faible, et YW est l'hypercharge faible.
Physique au-delà du modèle standardLa physique au-delà du modèle standard se rapporte aux développements théoriques de la physique des particules nécessaires pour expliquer les défaillances du modèle standard, telles que l'origine de la masse, le problème de la violation CP de l'interaction forte, les oscillations des neutrinos, l'asymétrie matière-antimatière, et la nature de la matière noire et de l'énergie noire.
Charge (physique)thumb|Exemple de charge atomique : ici un atome d'hélium. Ses deux protons (bleu) et ses deux neutrons (rouge) forment son noyau ; deux électrons orbitant (sinusoïdes) complètent sa charge. En physique, une charge peut faire référence à différentes quantités, telle que la charge électrique en électromagnétisme ou la charge de couleur en chromodynamique quantique. Les charges sont associées aux nombres quantiques conservés. D'une façon plus abstraite, une charge est un générateur quelconque d'une symétrie continue du système physique étudié.