vignette|alt=Photographie d'une grenade et de son dessin technique.|Grenade F-1 russe avec allumeur URZGM.
vignette|Grenade à fragmentation M67 américaine.
vignette|Grenade défensive F1 à fragmentation modèle 16 française.
Une grenade à main est un petit engin explosif tenu en main et destiné à être lancé, pour ensuite exploser après un court laps de temps.
Le mot « grenade » est à l'origine français et provient du fruit du même nom, en référence à la taille des premières grenades, et parce que les éclats de shrapnel rappelaient aux soldats les nombreuses graines du fruit. Les grenadiers sont à l'origine des soldats spécialisés dans le lancer de grenades.
Toutes les grenades ne sont pas lancées avec la main. Il existe des grenades à fusil pour l'envoi au fusil, et les lance-grenades. Par exemple, le lance-grenades M203 (qui peut être adapté sur plusieurs armes comme le Colt M4) qui peut tirer des grenades explosives, des grenades au gaz CS, au gaz lacrymogène et même des grenades éclairantes.
La première grenade est inventée en Chine sous la Dynastie Song (960-1279), connue sous le nom de Zhen Tian Lei, lorsque les soldats chinois confinaient de la poudre noire dans des récipients en céramique ou en métal. En 1044, un livre militaire, Wujing Zongyao (Principes généraux du Classique de la guerre), décrivait divers types d'armes à feu, où l'on peut découvrir le prototype des grenades à main modernes.
En parallèle, à la même époque, les peuples orientaux durant les Croisades ont développé des modèles de grenades incendiaires et explosives en céramique. Leur utilisation pouvait faire appel à des soldats spécifiques (dénommés naffatun), aussi bien sur des champs de bataille que dans des contextes de sièges. Ces grenades pouvaient aussi être utilisés contre des bastions de croisés par l'armée arabe. Une grenade de ce type datant de cette époque a été retrouvée dans le centre d'Israêl.
En apparaissent en Chine les premières grenades et obus en fonte, qui n'apparaissent en Europe qu'en 1467.
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Early thermal weapons, which used heat or burning action to destroy or damage enemy personnel, fortifications or territories, were employed in warfare during the classical and medieval periods (approximately the 8th century BC until the mid-16th century AD). Incendiary devices were frequently used as projectiles during warfare, particularly during sieges and naval battles: some substances were boiled or heated to inflict damage by scalding or burning; other substances relied on their chemical properties to inflict burns or damage.
The British No. 69 was a hand grenade developed and used during the Second World War. It was adopted into service due to the need for a grenade with smaller destructive radius than the No. 36M "Mills bomb". This allowed the thrower to use a grenade even when there was little in the way of defensive cover. In contrast, the much greater destructive radius of the Mills bomb than its throwing range forced users to choose their throwing point carefully, in order to ensure that they would not be wounded by the shrapnel explosion of their own grenade.
The double cylinder, Nos. 8 and No. 9 hand grenades, also known as the "jam tins", are a type of improvised explosive device used by the British and Commonwealth forces, notably the Australian and New Zealand Army Corps (ANZAC) in World War I. The jam tin, or bully beef tin, was one of many grenades designed by ANZACs in the early part of the First World War in response to a lack of equipment suited to trench warfare. The grenade was an inner can of explosive with an outer can of metal fragments or ball bearings.
Explore la transformation de la poudre céramique à travers des opérations de fragmentation, des mécanismes de rupture des particules et des forces interparticulaires comme les forces de van der Waals.
The experimental characterization of the electromagnetic (EM) response of a set of inert improvised explosive devices (IEDs) is presented in this paper. The characterization is based on measurements of gain and input impedance of the firing circuits of ine ...
Anyone who has ever broken a dish or a glass knows that the resulting fragments range from roughly the size of the object all the way down to indiscernibly small pieces: typical fragment size distributions of broken brittle materials follow a power law, an ...