Le terme amplificateur peut concerner une espèce animale, dont l'espèce humaine, dans le cadre d'une épidémiologie des maladies infectieuses, ou une région fonctionnelle de l'ADN dans le cadre de la biologie moléculaire.
On appelle hôte amplificateur, une espèce animale multipliant une charge infectieuse ou parasitaire suffisante pour être transmissible. Un hôte amplificateur augmente la quantité d'agents infectieux en circulation (par exemple virus) dans le cadre d'un cycle épidémique.
Une amplification se produit lorsqu’un agent s’adapte suffisamment à une nouvelle espèce et s'y multiplie.
Du point de vue du pathogène, un bon amplificateur doit présenter les qualités suivantes:
les individus doivent être nombreux et accessibles aux vecteurs à la fois spatialement et temporellement,
les individus attirent préférentiellement le vecteur et tolérent le pathogène,
une infection doit occasionner une forte virémie,
la population d'individus non-immunisés doit pouvoir se renouveler.
Un amplificateur (en anglais enhancer) est une région d'ADN (séquence régulatrice) qui peut fixer des protéines pour stimuler la transcription d'un gène. Un gène peut posséder plusieurs amplificateurs qui sont généralement situés assez loin du gène (jusqu'à 100 000 nucléotides).
Le gène et l'amplificateur peuvent aussi ne pas être forcément proches l'un de l'autre et même être sur deux chromosomes différents. Cependant le repliement de l'ADN dans le noyau leur permet une proximité physique.
L'amplificateur est donc un ensemble de plusieurs éléments de contrôles distaux (distaux du fait qu'ils sont éloignés du gène auquel ils sont affectés) : ces éléments sont de courtes séquences de nucléotides sur lesquelles se fixent des protéines nommées facteurs de transcription.
Il en existe deux types :
les activateurs augmentent l'expression génétique,
les répresseurs, aussi appelés insulateurs diminuent l'expression génétique.
Des facteurs de transcription spécifiques se lient à certaines protéines médiatrices et à certains facteurs de transcription généraux.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Main aim of the course is to introduce, in designing of modern wearable and implantable devices, the new concept of co-design three system' layers: Bio for Specificity, Nano for Sensitivity, and CMOS
This advanced Bachelor/Master level course will cover fundamentals and approaches at the interface of biology, chemistry, engineering and computer science for diverse fields of synthetic biology. This
In this course we will discuss advanced biophysical topics, building on the framework established in the course "Macromolecular structure and interactions". The course is held in English.
Un gène, du grec ancien (« génération, naissance, origine »), est, en biologie, une séquence discrète et héritable de nucléotides dont l'expression affecte les caractères d'un organisme. L'ensemble des gènes et du matériel non codant d'un organisme constitue son génome. Un gène possède donc une position donnée dans le génome d'une espèce, on parle de locus génique. La séquence est généralement formée par des désoxyribonucléotides, et est donc une séquence d'ADN (par des ribonucléotides formant de l'ARN dans le cas de certains virus), au sein d'un chromosome.
La régulation de l'expression des gènes désigne l'ensemble de mécanismes mis en œuvre pour passer de l'information génétique incluse dans une séquence d'ADN à un produit de gène fonctionnel (ARN ou protéine). Elle a pour effet de moduler, d'augmenter ou de diminuer la quantité des produits de l'expression des gènes (ARN, protéines). Toutes les étapes allant de la séquence d'ADN au produit final peuvent être régulées, que ce soit la transcription, la maturation des ARNm, la traduction des ARNm ou la stabilité des ARNm et protéines.
thumb|upright=1.3|Figure 1: Représentation d'une boîte homéotique sur une séquence d'ADN thumb|upright=1.3|Figure 2 : Homéodomaine du gène Antennapedia de Drosophila melanogaster lié à un fragment d’ADN, illustrant les interactions de l’hélice de reconnaissance (hélice 3) et de l’extrémité N-terminal avec le sillon majeur et mineur de la double hélice d’ADN Une boîte homéotique (appelée aussi homéoboîte, homeobox en anglais) est une séquence d'ADN qu'on retrouve dans certains gènes essentiels au développement embryonnaire, la morphogenèse, des animaux, des champignons et des plantes.
This course will provide the fundamental knowledge in neuroscience required to
understand how the brain is organised and how function at multiple scales is
integrated to give rise to cognition and beh
This course will provide the fundamental knowledge in neuroscience required to
understand how the brain is organised and how function at multiple scales is
integrated to give rise to cognition and beh
This course will provide the fundamental knowledge in neuroscience required to
understand how the brain is organised and how function at multiple scales is
integrated to give rise to cognition and beh
Explore l'impact de la variation réglementaire sur la médecine de précision, en se concentrant sur les SNP GWAS non codants et la variation de l'expression des gènes.
Plonge dans la base moléculaire de la diversité phénotypique, en soulignant le rôle de l'épigénétique et des gènes non conservés dans la formation de la diversité.
Gene regulatory networks (GRNs) play a crucial role in an organism's response to changing environmental conditions. Cellular behaviors typically result from the integration of multiple gene outputs, and their regulation often demands precise control of num ...
EPFL2024
Cell fate progression of pluripotent progenitors is strictly regulated, resulting in high human cell diversity. Epigenetic modifications also orchestrate cell fate restriction. Unveiling the epigenetic mechanisms underlying human cell diversity has been di ...
Nature Portfolio2024
, ,
Growing evidence indicates that transposable elements (TEs) play important roles in evolution by providing genomes with coding and non-coding sequences. Identification of TE-derived functional elements, however, has relied on TE annotations in individual s ...