vignette|Les Pyramides de Gizeh.
Pyramidologie est un terme qui réfère aux diverses spéculations pseudo-scientifiques concernant les pyramides, le plus souvent concernant la nécropole de Gizeh et sa Grande pyramide.
Les interrogations des pyramidologues, qualifiés d' par l'égyptologue Pascal Vernus, portent le plus souvent sur les modes de construction, mettant en doute les capacités des Égyptiens à effectivement édifier ces monuments, ainsi que sur les propriétés et fonctions du monument, qui donnent lieu à toutes sortes de théories pseudo-scientifiques.
Ces appréciations se portent également sur différentes structures monumentales, depuis les monuments mégalithiques de Stonehenge jusqu'aux statues de l'île de Pâques en passant par les murailles de Machu Picchu.
La Description de l'Égypte, compte-rendu de la campagne d'Égypte menée par Bonaparte, a apporté au monde occidental la richesse et la variété de la civilisation égyptienne. Elle permit de lever de nombreux voiles : les grandes pyramides s'avéraient être des tombeaux et les nombreuses expéditions qui suivirent confirmèrent cette analyse. Cependant, les particularités de la grande pyramide de Khéops laissent certains auteurs s'interroger :
la démesure et la précision obtenues pour la grande pyramide de Khéops seraient incompatibles avec les connaissances et les moyens rudimentaires que l'on attribue communément au peuple qui l'érigea ;
l'étroitesse et la précision dans la réalisation des couloirs descendants et « conduits d'aération » ne paraîtraient pas en cohérence avec les fonctions qui leur sont attribuées ;
les faibles moyens techniques et la qualité des outils retrouvés, comparés à la complexité et à la précision de la réalisation ;
l'hétérogénéité des formes et dimensions des blocs, volontaire car souvent réalisée en symétrie, rendant leur réalisation et ajustement beaucoup plus complexes ;
l'absence de texte ou de plans restants décrivant la construction de la pyramide ;
les connaissances mathématiques requises ;
La durée de construction elle-même.
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Graham Hancock, né le à Édimbourg, est un écrivain et journaliste britannique. Il promeut des théories à propos des civilisations anciennes. Sujet à controverse dans le domaine de l'archéologie, il se décrit lui-même comme journaliste d'investigation cherchant à découvrir la potentielle existence puis disparition d'une civilisation dite « avancée » contemporaine à la dernière phase de l'ère glaciaire, dite Würm IV. La communauté scientifique le qualifie souvent de pseudo-scientifique pour ses méthodes inhabituelles de travail et d'interprétation de gravures et sculptures préhistoriques.
vignette|Hiéroglyphes d'Abydos interprétés comme aéronefs et véhicules modernes par des élucubrateurs, en opposition au consensus scientifique sur leur explication. vignette|Peintures du Val Camonica (Italie, ) figurant des divinités, ou des figures mythologiques, interprétées comme visiteurs extraterrestres par les tenants de la théorie des anciens astronautes. vignette|Dogū de la période Jōmon ( à , Japon). Des partisans de la théorie des anciens astronautes voient en ces statuettes la représentation de visiteurs d'un autre monde munis de combinaisons spatiales.
vignette|Le motif parfois désigné sous le nom d'« » fait l'objet de théories pseudoarchéologiques, qui soutiennent l'usage de l'électricité par les anciens Égyptiens. La pseudoarchéologie, aussi appelée « archéologie fantastique » ou « cryptoarchéologie », est un terme désignant l'archéologie pseudo-scientifique. Les hypothèses risquées proposées par la pseudoarchéologie se caractérisent souvent par leur sensationnalisme à contre-courant des résultats de la recherche historique et archéologique menée selon la méthode scientifique par les chercheurs professionnels.