Benoît Jean Dominique FerrariBiologiste et biochimiste de formation, Benoît J.D. Ferrari a obtenu son diplôme de doctorat en Ecotoxicologie à lUniversité de Lorraine (Metz, France) en 2000 en travaillant sur le développement dune approche dévaluation du danger écotoxique des déchets solides utilisant une batterie de bioessais dans le cadre dun projet interdisciplinaire suivi par lAgence de lEnvironnement et de la Maîtrise de lEnergie (ADEME). Après avoir passé presque 7 années à Irstea (anciennement Cemagref) à Lyon en France (périodes 2000-2002 et 2008-2013) et avoir occupé un poste de Maitre-assistant à lInstitut F.A. Forel à Genève (2002-2008), il a acquis au travers des projets franco-suisses et européens quil a (co-)pilotés une expérience forte dans le domaine de lécotoxicologie et dans les approches pluridisciplinaires. En Octobre 2013, il rejoint le Centre Suisse dEcotoxicologie Appliquée (Centre Ecotox Eawag/EPFL) en tant que responsable du groupe Sol et Sédiment. Sintéressant à létude de lécodynamique des contaminants et leurs effets sur lécophysiologie des organismes, ses compétences et ses thématiques de recherche appliquée couvrent aujourdhui :
Le développement dindicateurs écotoxicologiques dexposition et deffets pour évaluer le stresse chimique
Lintégration des indicateurs écotoxicologiques dans des approches de laboratoire et de terrain pour le diagnostic de la qualité des écosystèmes
Le développement de bioessais adaptés pour le biomonitoring actif
Le transfert de compétence vers la sphère opérationnelle (formation).
Magalí Alejandra LingenfelderMagalí Lingenfelder is currently leading the Max Planck-EPFL Laboratory for Molecular Nanoscience. Her vision is to create atomically tailored interfaces for applications in two distinct areas of urgent technological and societal relevance: energy conversion and smart antimicrobial interfaces. To access the nanoscale, her group uses a combination of state-of-the-art scanning probe microscopy and solid state spectroscopy, allowing the study of kinetic processes in-situ under liquid flow and potential control conditions (operando electrocatalysis). She made seminal contributions to the field of metal-organic coordination networks on solid surfaces, and received the Otto Hahn medal in 2008 for the microscopic understanding of the chiral recognition process with submolecular resolution. She is a committed mentor, and since her relocation from the Lawrence Berkeley National Laboratory, USA to EPFL in 2013, she directed 3 MSc. theses, 4 PhD theses and 4 postdocs. She advocates for problem-oriented interdisciplinary research: she led 5 international research consortiums, delivered over 40 invited presentations and organized 9 conferences and 4 doctoral schools. In 2018, the Royal Society of Chemistry included her work in the first collection “Celebrating Excellence in Research: 100 Women of Chemistry”.