The Samādhirāja Sūtra (King of Samādhis Sūtra) or Candrapradīpa Sūtra (Moonlamp Sūtra) is a Buddhist Mahayana sutra. Some scholars have dated its redaction from the 2nd or 3rd century CE to the 6th century (the date of the earliest manuscript found), but others argue that its date just cannot be determined. The Samādhirāja is a very important source for the Madhyamaka school and it is cited by numerous Indian authors like Chandrakirti, Shantideva and later Buddhist authors. According to Alex Wayman, the Samādhirāja is "perhaps the most important scriptural source for the Madhyamika." The Samādhirāja is also widely cited in Tantric Buddhist sources, which promote its recitation for ritual purposes. A commentary to the sutra, the Kīrtimala (Tibetan: grags pa'i phreng ba), was composed by the Indian Manjushrikirti and this survives in Tibetan.
The text is commonly known as the King of Samadhis Sutra (Samādhirājasūtra, Tib. ting nge 'dzin gyi rgyal po'i mdo), and it is also known as the Moon Lamp Sutra (Skt. Candrapradīpa Sutra, Tib. zla ba sgron me’i mdo) after the main bodhisattva in this sutra.
The full Tibetan title in the Kanjur is:
’phags pa chos thams cad kyi rang bzhin mnyam pa nyid rnam par spros pa ting nge ’dzin gyi rgyal po zhes bya ba theg pa chen po’i mdo
Sanskrit: Ārya-sarvadharma-svabhāvasamatā-vipañcita-samādhirāja-nāma-mahāyānasūtra
In English, this long title may be translated as The Noble Mahāyāna Sūtra “The King of Samādhis, the Revealed Equality of the Nature of All Phenomena” (Roberts) or "the samadhi that is manifested as the sameness of the essential nature of all dharmas," (Luis and Gomez) or "the Mahayana discourse that is called the king of samadhi, as received from the samadhi elaborated as the sameness in their essence of all phenomena" (Skilton).
The Chinese have preferred Yueh-teng san-mei ching, corresponding to *Candrapradīpa-samādhisūtra (Moon Lamp Samadhi Sutra).
Peter Alan Roberts writes that "it is impossible to be sure when this work first appeared in writing; indeed, the sūtra is very likely a compilation of earlier shorter works.
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Le bouddhisme mahāyāna, (terme sanskrit – महायान – signifiant « grand véhicule », en chinois : 大乘, dàchéng ; en japonais : 大乗, daijō ; en vietnamien : Đại Thừa ; en coréen : 대승, dae-seung), apparaît vers le début de notre ère dans le Nord de l’Inde et dans l'Empire kouchan, d’où il se répand rapidement au Tarim et en Chine, avant de se diffuser dans le reste de l’Extrême-Orient.
Le Bodhicharyavatara (du sanskrit बोधिचर्यावतार, IAST Bodhicaryāvatāra ; ) est un traité versifié en sanskrit attribué à Shantideva (c.685-763). Ce traité à dix chapitres décrit l'engagement et la pratique d'un bodhisattva, c'est-à-dire ce que doit faire un aspirant selon la tradition du bouddhisme à l'éveil (bodhisattva) liée à la nature de Bouddha. Il en existe au moins une centaine de commentaires. Ce titre se compose de l'éveil (bodhi), la pratique (caryâ) et l'entrée (avatâra), signifiant les pratiques emmenant à l'éveil.
Samatha (en pali) ou shamatha (en sanscrit : शमथ, IAST : śamatha), en tibétain chiné (ཞི་གནས་), désigne dans le bouddhisme la « tranquillité de l'esprit », la « quiétude » ou le « calme mental », et par extension la première étape des pratiques de méditation bouddhique permettant de développer cet état. La deuxième étape de la méditation bouddhique est la pratique de vipassanā, la « vue profonde ». méditation bouddhique La tradition tibétaine se fonde sur les textes de base suivants : le Ratnamegha sutra, le et sur les de Kamalashila.