thumb|right|Module de dans le plan complexe, coloré de sorte que noir=0, rouge=4.
En mathématiques, la fonction d'Euler est donnée par
Elle est nommée d'après Leonhard Euler, et elle constitue un exemple type du q-analogue d'une série. C'est une forme modulaire, et elle fournit un exemple typique d'interaction entre combinatoire et analyse complexe.
On peut écrire la définition de comme produit infini de façon compacte grâce au symbole de Pochhammer :
Le coefficient du développement en série formelle de est le nombre de partitions de l'entier . Formellement,
L'identité d'Euler, aussi appelé le théorème des nombres pentagonaux, est l'identité
Dans cette somme, les nombres sont les nombres pentagonaux généralisés.
La fonction d'Euler est liée à la fonction êta de Dedekind. Pour tout nombre complexe de partie imaginaire positive, on définit (c'est le carré du ), et la fonction êta est
Les deux fonctions possèdent les symétries du groupe modulaire.
La fonction d'Euler s'exprime aussi simplement à l'aide du q-symbole de Pochhammer :
Le logarithme de la fonction d'Euler est la somme des logarithmes des facteurs du produit ; chacun peut être développé autour de q = 0, ce qui donne :
qui est une série de Lambert avec coefficients . Le logarithme de la fonction d'Euler s'exprime donc par :
avec .
La suite des est la .
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
En combinatoire, le q-symbole de Pochhammer est un symbole permettant de noter facilement certains produits. C'est l'élément de base des q-analogues. C'est le q-analogue du symbole de Pochhammer défini par Leo Pochhammer. Le q-symbole de Pochhammer est : avec On peut étendre la notation à des produits infinis : On note parfois , lorsqu'il est clair que la variable est q. Un grand nombre de séries génératrices représentant des partitions peuvent être exprimées de façon compacte avec ces symboles.
En mathématiques, le théorème des nombres pentagonaux, dû au mathématicien suisse Euler, est le théorème qui établit le développement en série formelle de la fonction d'Euler : Autrement dit : Le nom du théorème vient de la forme des exposants dans le membre droit de l'égalité : ces nombres sont les nombres pentagonaux généralisés. Le théorème des nombres pentagonaux est un cas particulier de l'identité du triple produit de Jacobi. Ce théorème a une interprétation combinatoire en termes de partitions.
In number theory, the partition function p(n) represents the number of possible partitions of a non-negative integer n. For instance, p(4) = 5 because the integer 4 has the five partitions 1 + 1 + 1 + 1, 1 + 1 + 2, 1 + 3, 2 + 2, and 4. No closed-form expression for the partition function is known, but it has both asymptotic expansions that accurately approximate it and recurrence relations by which it can be calculated exactly. It grows as an exponential function of the square root of its argument.