Apostrophe (typographie)L’apostrophe (nom féminin) est un signe typographique pour l’élision grammaticale, ou éventuellement servir de ponctuation ou servir à former un diacritique, voire servir de lettre. Issue d’une ponctuation de l’alphabet grec qui indique l’élision, elle a été empruntée par d’autres écritures, dont l’alphabet latin principalement. vignette|Apostrophe droite et apostrophe courbée sur une machine à écrire portable Remington de 1920. L’apostrophe a traditionnellement la forme d’une virgule placée en hauteur.
Barre obliqueLa barre oblique « / », ou par anglicisme le slash, est un caractère typographique. Elle se distingue de la barre oblique inversée « \ ». Avec l'arobase et le tilde, la barre oblique / est l'un des symboles les plus utilisés sur Internet, puisque la double barre oblique est à la tête de l'URI, après l'indication du protocole utilisé (ainsi, avec le protocole HTTP, l’URI commencera par ). C'est aussi, pour la plupart des systèmes d'exploitation, le caractère qui distingue les différents dossiers d'un chemin.
AcronymieLacronymie est la création d'un mot formé des initiales abréviatives (OTAN, ovni, Unicef) de plusieurs mots, ou bien de lettres ou de syllabes initiales (radar, Benelux), ou parfois d'un mélange de lettres initiales et non initiales (Medef, sida), et qui se prononce comme un mot normal et non pas lettre par lettre. Ainsi sont exclus la plupart des mots-valises (motel, progiciel) car ils contiennent des éléments qui ne sont pas initiaux dans les mots d'origine (hôtel, logiciel), et les sigles prononcés lettre par lettre (SNCF en France, STM au Québec, USA).
Romanisation du grecCe tableau fait la liste de plusieurs principes de transcription du grec vers l'alphabet latin. Pour le grec moderne, le système qui se rapproche le plus de la prononciation grecque est celui de « BGN/PCGN » de 1962, abandonné par ces institutions en 1996. Pour toute création d’un article ayant pour titre un nom grec non francisé, il est préférable de suivre ces principes. Le grec ancien était une langue polytonique. Au fil des siècles, la prononciation a évolué, rendant la plupart des diacritiques inutiles, sans que le sens d'un mot en soit changé.
Contraction (linguistique)En linguistique, la contraction est, au sens large du terme, la réduction quantitative d'entités telles que des mots, des groupes de mots, des phrases simples ou des phrases complexes. Ce phénomène peut être synchronique ou diachronique, tenant de la phonétique, de l'étymologie, de la lexicologie ou de la grammaire (morphologie et syntaxe). Parfois il concerne plus d'un de ces domaines à la fois. Certains auteurs limitent la notion de contraction aux modifications phonétiques impliquant la réduction quantitative des mots, telles l'aphérèse, la syncope, l'apocope, l'élision, la synérèse, la coalescence, etc.
Séparateur (informatique)A delimiter is a sequence of one or more characters for specifying the boundary between separate, independent regions in plain text, mathematical expressions or other data streams. An example of a delimiter is the comma character, which acts as a field delimiter in a sequence of comma-separated values. Another example of a delimiter is the time gap used to separate letters and words in the transmission of Morse code. In mathematics, delimiters are often used to specify the scope of an operation, and can occur both as isolated symbols (e.
Séparateur décimal et séparateur de milliersUn séparateur décimal est un symbole utilisé pour partager la partie décimale de la partie entière d'un nombre décimal. Ce symbole dépend des conventions régionales du système de numération ; communément, il est représenté par un point dans les systèmes anglo-saxons et par une virgule dans les autres systèmes. Le séparateur de milliers est lui utilisé pour faciliter la lecture des grands nombres en regroupant par ordre de mille. Au Moyen Âge, avant l'apparition de l'imprimerie, les mathématiciens utilisaient une barre (« ̄ ») pour surligner la partie entière d'un nombre.
Barre verticaleLa barre verticale, le tube ou le pipe (mot anglais) est le nom du caractère ASCII 124, symbolisé par une barre verticale | ou une barre verticale brisée en son milieu ¦. En Unicode, la barre verticale se trouve au point U+007C, tandis que la « barre brisée » est un caractère à part, U+00A6. En HTML, la barre non codée peut être codée ¦. La barre verticale est un signe de ponctuation anglo-saxon, qui n'est pas reconnu par la plupart des scripteurs.
Emphase (typographie)thumb|350x350px|Exemple d'utilisation du changement de fonte en écriture gothique : dans le texte en fraktur, les mots mis en emphase sont composés en schwabacher. En typographie, l’emphase est l’exagération d’un mot ou d'une phrase en utilisant un style ou une fonte différente de celle du reste du texte — pour mettre l’accent dessus. right|frame|Exemple d'emphase sur un texte en romain La technique la plus usité en typographie occidentale consiste à mettre l’accent à travers le changement de fonte ou sa modification : italique, gras, ou .
8.3 filenameAn 8.3 filename (also called a short filename or SFN) is a convention used by old versions of DOS and versions of Microsoft Windows prior to Windows 95 and Windows NT 3.5. It is also used in modern Microsoft operating systems as an alternate filename to the , to provide compatibility with legacy programs. The filename convention is limited by the . Similar 8.3 file naming schemes have also existed on earlier CP/M, TRS-80, Atari, and some Data General and Digital Equipment Corporation minicomputer operating systems.