The Guardian Council, (also called Council of Guardians or Constitutional Council, Shourā-ye Negahbān) is an appointed and constitutionally mandated 12-member council that wields considerable power and influence in the Islamic Republic of Iran.
The constitution of the Islamic Republic gives the council three mandates:
a) veto power over legislation passed by the parliament (Majles);
b) supervision of elections; and
c) approving or disqualifying candidates seeking to run in local, parliamentary, presidential, or Assembly of Experts elections.
The Iranian constitution calls for the council to be composed of six Islamic faqihs (experts in Islamic Law), "conscious of the present needs and the issues of the day" to be selected by the Supreme Leader of Iran, and six jurists, "specializing in different areas of law, to be elected by the Majlis (the Iranian Parliament) from among the Muslim jurists nominated by the Chief Justice" (who, in turn, is also appointed by the Supreme Leader).
The Council has played a central role in controlling the interpretation of Islamic values in Iranian law in the following ways:
As part of its vetting of potential candidates to determine who can and cannot run for national office, it has disqualified reform-minded candidates—including the most well-known candidates—from running for office;
Vetoes laws passed by the popularly elected Majlis.
Has increased the influence that the Islamic Revolutionary Guard Corps (an ideological fighting force separate from the Iranian army) has on the economic and cultural life of the country.
When the 2009 presidential election was announced, popular former president Mohammad Khatami would not discuss his plans to run against Mahmoud Ahmadinejad, for the Council might have disqualified Khatami as it had other reformists' candidatures, on the grounds that they were not dedicated enough to Islamic values.
There have also been instances where the Constitutional Council reversed its ban on particular people after being ordered to do so by Khamenei.
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thumb|Le bâtiment du parlement originel (Madjles) tel qu'il apparaissait pendant l'hiver 1956. L'Assemblée consultative islamique (en مجلس شورای اسلامی romanisé : Majles-e Šorâ-ye Eslâmi) est l'assemblée (Madjles ; en مجلس / Majles ) monocamérale de l'Iran. Elle était auparavant celle de la Perse. Le Madjles était la chambre basse de la législature perse puis iranienne de 1906 à 1979, la chambre haute étant le Sénat. C'est durant la période de la Révolution constitutionnelle qu'est d'abord défini le rôle, au centre du dispositif constitutionnel, du parlement élu, sous le nom de Madjles.
Les réformistes (en persan : اصلاحطلبان , Eslâh-Talabân) constituent l'un des deux principaux camps politiques en Iran, avec les principalistes. Un nombre significatif de partis se réclament de ce courant, qui ne dispose pas d'organe de coordination officiel, bien que des structures de coordination plus ou moins pérenne, telles que le , se crééent en fonction des échéances électorales. Au moment de la révolution islamique de 1978-79, de nombreux courants, islamistes mais aussi pro-démocratie libérale et pro-marxiste, se rassemblent pour s'opposer à Mohammad-Reza Shah.
La révolution iranienne, également appelée révolution islamique ou révolution de 1979 est la révolution de 1979 qui a transformé l'Iran en république islamique, renversant l'État impérial d'Iran de la dynastie Pahlavi. En 1941, le shah Mohammad Reza Pahlavi prend le pouvoir en Iran, après le départ de son père Reza Chah Pahlavi, forcé d'abdiquer en 1941 par l'invasion des Britanniques et des Soviétiques.