La Grande Mosquée des Omeyyades de Damas, construite entre 706 et 715, est un édifice religieux musulman bâti par le calife omeyyade Al Walid .
thumb|La sahn de la mosquée des Omeyyades.
La mosquée fut construite au (entre 706 et 715) sur l'emplacement d'une basilique paléochrétienne.thumb|La fontaine et la salle des prières en arrière-plan.
thumb|upright|Le minaret de Jésus.
thumb|upright|Le minbar de la mosquée.
thumb|upright|Le mihrab principal.
Cette mosquée fut édifiée dans la vieille ville romaine de Damas devenue capitale de l'Empire omeyyade, près des deux axes principaux de la ville qui dataient de l'époque romaine : le la et le la . Elle se situe à l'emplacement de l'ancienne église Saint Jean le Baptiste (), elle-même construite sur un ancien téménos romain dédié à Jupiter.
Le temple romain est encore présent dans la mosquée sous la forme de certains murs, des propylées à l'est et des tours d'angle devenues des minarets. Par contre, la basilique Saint-Jean-Baptiste, édifice de petite taille, fut en grande partie démolie pour gagner de l'espace, excepté un clocher devenu minaret et certains murs extérieurs conservés de l'édifice ancien. Cette démolition n'est intervenue qu'après l'achat de l'église par le pouvoir musulman vers 664.
Un palais de la période omeyyade a été découvert à proximité de la mosquée lors de fouilles archéologiques.
C'est à la demande d'Al-Walid que fut édifiée la nouvelle mosquée, entre 706 et 715. La mosquée a un aspect monumental qui s'explique en partie par le contexte historique de l'époque du calife : l'augmentation du nombre de musulmans à Damas rend nécessaire la construction d'un édifice ayant une capacité d'accueil importante. De plus, il faut rivaliser avec les églises de Syrie afin d’affirmer la place grandissante de l’islam.
Néanmoins, son histoire fut pour le moins tourmentée, et son état actuel, s'il semble assez bien respecter la disposition originale, ne contient presque plus rien d'omeyyade.
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L’islam (en الإسلام ; Alʾislām, « la soumission ») est une religion abrahamique s'appuyant sur le dogme du monothéisme absolu (تَوْحيد, tawhid) et prenant sa source dans le Coran, considéré comme le réceptacle de la parole de Dieu (الله, Allah) révélée, au en Arabie, à Mahomet (محمّد, Muḥammad), proclamé par les adhérents de l'islam comme étant le dernier prophète de Dieu. Un adepte de l'islam est appelé un musulman ; il a des devoirs cultuels, souvent appelés les « piliers de l'islam ».
Un mihrab (مِحْراب [miḥrāb], sanctuaire) est une niche architecturale pratiquée dans le mur d'une mosquée pour indiquer la qibla, c'est-à-dire la direction de la kaaba à La Mecque vers où se tournent les musulmans pendant la prière. Il est souvent au milieu du mur de la qibla, et souvent décoré avec deux colonnes et une arcature. Le caractère sacré du mihrab en fait la partie la plus décorée de la mosquée. Les motifs sont en général épigraphiques, géométriques et végétaux. On ne trouve pas de représentation figurative.
thumb|Entrée d'une mosquée a Tlemcen en Algérie, peinture orientaliste de 1882 par Valery Jacobi. L'architecture islamique est une expression qui fait référence à l'art de construire (al-bina) qui s'est développé du à nos jours sur un ensemble appelé communément « monde musulman ». Celui-ci s'étend sur l'Afrique et l'Asie, de la côte ouest de l'Océan Atlantique à l'Inde d'ouest en est, et de l'Asie centrale à l'Océan Indien du nord au sud. À cela on peut ajouter des pays qui ont connu ou connaissent une importante minorité musulmane, comme l'Espagne et la Chine.
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