NOTOC
In the Baháʼí Faith the Qiblih (, "direction") is the location to which Baháʼís face when saying their daily obligatory prayers. The Qiblih is fixed at the Shrine of Baháʼu'lláh, near Acre, in present-day Israel; approximately at .
In Bábism the Qiblih was originally identified by the Báb with "the One Whom God will make manifest", a messianic figure predicted by the Báb. Baháʼu'lláh, the Prophet-founder of the Baháʼí Faith claimed to be the figure predicted by the Báb. In the Kitáb-i-Aqdas, Baháʼu'lláh confirms the Báb's ordinance and further ordains his final resting-place as the Qiblih for his followers. ʻAbdu'l-Bahá describes that spot as the "luminous Shrine", "the place around which circumambulate the Concourse on High". The concept exists in other religions. Jews face Jerusalem, more specifically the site of the former Temple of Jerusalem. Muslims face the Kaaba in Mecca, which they also call the Qibla (another transliteration of Qiblih).
Baháʼís do not worship the Shrine of Baháʼu'lláh or its contents, the Qiblih is simply a focal point for the obligatory prayers. When praying obligatory prayers the members of the Baháʼí Faith face in the direction of the Qiblih. It is a fixed requirement for the recitation of an obligatory prayer, but for other prayers and devotions one may follow what is written in the Qurʼan: "Whichever way ye turn, there is the face of God."
"The dead should be buried with their face turned towards the Qiblih. This also is in accordance with what is practiced in Islam. There is also a congregational prayer to be recited. Besides this there is no other ceremony to be performed" (From a letter written on behalf of Shoghi Effendi to an individual believer, July 6, 1935).
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L’islam (en الإسلام ; Alʾislām, « la soumission ») est une religion abrahamique s'appuyant sur le dogme du monothéisme absolu (تَوْحيد, tawhid) et prenant sa source dans le Coran, considéré comme le réceptacle de la parole de Dieu (الله, Allah) révélée, au en Arabie, à Mahomet (محمّد, Muḥammad), proclamé par les adhérents de l'islam comme étant le dernier prophète de Dieu. Un adepte de l'islam est appelé un musulman ; il a des devoirs cultuels, souvent appelés les « piliers de l'islam ».
Sayyid ʿAlī Muḥammad Šīrāzī (سيد علی محمد شیرازی en persan), né le à Chiraz et mort fusillé le à Tabriz, est un marchand et chef religieux iranien fondateur du babisme. En 1844, il déclare être une manifestation nouvelle de Dieu et le mahdi (ou al-qāʾim) attendu par les musulmans. Il se donna dès lors le titre de Bāb (باب), qui signifie « porte » en arabe. Sa renommée, acquise avec la nouvelle religion indépendante de l’islam qu'il fonde, lui vaut d'être fusillé à l'âge de .
Le babisme ou la foi babie ( بابی ها , Bābī hā) est un mouvement religieux réformateur et millénariste fondé en Iran le (5 Jamādīyu’l-Avval 1260 ap.H.), par un jeune commerçant de la ville de Chiraz, nommé Sayyid ʿAlī Muḥammad Šīrāzī (1819-1850) et surnommé le Bāb ( باب = « la Porte ») (1819-1850). Ce mouvement messianique fut la cause d’un grand bouleversement dans la société persane du . Le babisme se répandit rapidement à travers la Perse, touchant toutes les couches de la population, du plus humble paysan au plus éminent lettré.