Déclinaison (astronomie)En astronomie, la déclinaison (δ, d ou dec) est avec l’ascension droite une des coordonnées utilisées en coordonnées équatoriales. On l’utilise également en coordonnées horaires. La déclinaison est l’angle mesuré sur un cercle horaire entre un point de la sphère céleste et l’équateur céleste. Celui-ci étant la projection de l'équateur terrestre sur la sphère céleste, la déclinaison est l’équivalent de la latitude terrestre projetée sur la sphère céleste.
ParallaxeLa parallaxe est l’impact d'un changement d'incidence d'observation, c'est-à-dire du changement de position de l'observateur, sur l'observation d'un objet. En d'autres termes, la parallaxe est l'effet du changement de position de l'observateur sur ce qu'il perçoit. Ce mot apparaît au , emprunté au grec , qui signifie « déplacement contigu ; parallaxe ». thumb|Ampèremètre analogique ; le miroir en arc de cercle est situé au milieu de l'échelle.
Isaac NewtonIsaac Newton ( J – J, ou G – G) est un mathématicien, physicien, philosophe, alchimiste, astronome et théologien anglais, puis britannique. Figure emblématique des sciences, il est surtout reconnu pour avoir fondé la mécanique classique, pour sa théorie de la gravitation universelle et la création, en concurrence avec Gottfried Wilhelm Leibniz, du calcul infinitésimal. En optique, il a développé une théorie de la couleur fondée sur l'observation selon laquelle un prisme décompose la lumière blanche en un spectre visible.
ParsecLe parsec (), de symbole pc, est une unité de longueur utilisée en astronomie. Il est défini comme valant exactement , soit environ . Le nom parsec est la contraction de « parallaxe-seconde », une expression se rapportant à sa définition historique, désormais obsolète ( figure). est emprunté à l'anglais parsec, mot-valise proposé par l'astronome britannique Herbert Hall Turner à partir de par[allax] (en français, « parallaxe ») et de sec[ond] (« seconde »).
Énergie cinétiqueEn physique, l' est l’énergie que possède un corps du fait de son mouvement dans un référentiel donné. L'énergie cinétique n'est pas un invariant galiléen, c'est-à-dire que sa valeur dépend du référentiel choisi. Son unité est le joule. L'énergie cinétique d'un point matériel dans un référentiel galiléen est égale au travaux des forces appliquées pour faire passer le point du repos à un mouvement. vignette|Les wagons des montagnes russes possèdent une énergie cinétique maximale en bas de leur parcours.
GlaceLa glace est l'eau (de formule chimique ) lorsqu'elle est à l'état solide. Cet élément est très étudié dans la nature et en laboratoire, par les scientifiques, à commencer par les glaciologues, les physiciens de la matière condensée et autres cryologues de spécialités différentes : il contient souvent beaucoup d'impuretés ou d'inclusions, d'origine diverse.
Stellar coronaA corona ( coronas or coronae) is the outermost layer of a star's atmosphere. It consists of plasma. The Sun's corona lies above the chromosphere and extends millions of kilometres into outer space. It is most easily seen during a total solar eclipse, but it is also observable with a coronagraph. Spectroscopic measurements indicate strong ionization in the corona and a plasma temperature in excess of 1 000 000 kelvins, much hotter than the surface of the Sun, known as the photosphere. Corona is, in turn, derived .
Séquence principalevignette|540x540px|Le diagramme de Hertzsprung-Russell figure les étoiles. En abscisse, l'indice de couleur (B-V) ; en ordonnée, la magnitude absolue. La séquence principale se voit comme une bande diagonale marquée allant du haut à gauche au bas à droite. Ce diagramme représente du catalogue Hipparcos, ainsi que de faible luminosité (naines rouges ou blanches) extraites du catalogue Gliese des étoiles proches.
Noyau planétaireLe noyau d'une planète est, quand il existe, la partie centrale sphérique au cœur de sa structure, composée d'une phase dense, a priori métallique. La Terre et Vénus possèdent chacune un noyau planétaire de taille importante, de l'ordre d'un dixième en volume de la planète.
Albédo géométriqueEn astronomie, l'albédo géométrique d'un astre désigne le rapport entre l'énergie électromagnétique bolométrique réfléchie par cet astre, à angle de phase nul, et celle réfléchie dans les mêmes conditions (c.-à-d. bolométriquement et à un angle de phase nul) par une surface fictive, plane, parfaitement réfléchissante, lambertienne et de même section efficace que l'astre considéré.