L'économie de la Corée du Sud est un marché, dont le produit intérieur brut nominal était en 2021 le plus élevé au monde avec un montant de près de de US.Faisantpartiedesquatre«dragonsasiatiques»,laCoreˊeduSudaconnudepuiscinquanteansunecroissanceetuneinteˊgrationdansl′eˊconomiemondialeexceptionnelle.En1960,lePIBnominalparhabitanteˊtaitcomparableaˋceluidespayslesmoinsavanceˊsd′Afriqueetd′Asie,commeleCamerounetl′Indoneˊsie,avec260US par habitant, suite à la guerre de Corée (entre la Corée du Nord et la Corée du sud) qui a complètement rasé le pays. La guerre a tué près de 3 millions de Coréens, et le pays a subi la pire destruction matérielle et humaine de son histoire.
En 2017, son PIB nominal par habitant s’élève à presque US$, soit le même niveau que l'Espagne. Signe d’intégration forte dans l’économie mondiale, la Corée du Sud a rejoint l'OCDE en 1996.
Trois phases peuvent être distinguées dans le développement économique entre 1953 et 1980 :
une phase de substitution aux importations, entre 1953 et 1961 ;
un développement international basé sur l'essor des exportations (1961-1973) ;
enfin, la mise en place d'industries lourdes (1973-1989).
Le développement économique de la Corée du Sud est d'abord très lent : selon les statistiques établies par des analystes occidentaux, le PNB par habitant est resté presque stagnant en Corée du Sud (de 56 à ) entre 1953 et 1960, alors qu'il a quasiment quadruplé en Corée du Nord (de 55 à ) sur la même période.
Le modèle de développement sud-coréen s'est basé sur des liens étroits entre le gouvernement et les milieux d'affaires, y compris le crédit dirigé, les restrictions aux importations, le financement de certaines industries, et un gros effort de travail. Le gouvernement a favorisé l'importation des matières premières et de la technologie aux dépens des biens de consommation et a encouragé l'épargne et l'investissement au détriment de la consommation. Séoul est alors l'une des métropoles les plus chères et les plus polluées au monde.
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Les chaebol (, prononciation coréenne , ) sont en Corée des ensembles d'entreprises, de domaines variés, entretenant entre elles des participations croisées. Ils sont les équivalents coréens des anciens zaibatsu japonais (dissous par les autorités d'occupation américaines et réapparus sous la forme des keiretsu). Les deux expressions s'écrivent d'ailleurs avec les mêmes caractères chinois (財閥), la différence étant dans la prononciation apparentée. Il en existe une trentaine, chacun détenu par une grande famille dynastique.
thumb|Carte de la Corée. La réunification de la Corée est un projet devant permettre, à terme, la réunification de la Corée du Nord et de la Corée du Sud au sein d'un même État après la partition de l'ancien Empire coréen en 1945, qui couvrait un peu plus que la péninsule de Corée. Les deux parties se sont engagées à œuvrer pour la réunification lors de la Déclaration conjointe Nord-Sud (북남공동선언 pour le Nord, 남북 공동선언 pour le Sud) du .
K-pop (abréviation de Korean pop, français : pop coréenne, coréen : 케이팝, RR : keipap) est un terme désignant plusieurs genres musicaux (dance-pop, pop ballad, électronique, etc.) originaires de Corée du Sud, caractérisés par une large variété d'éléments audiovisuels et abrégés au terme de K-pop. Ce courant musical, inventé longtemps après la guerre (1990) pour aider pendant la crise financière que traversait la Corée du Sud, a vu, en 1992, à la suite de la transition vers un État démocratique, sa popularité grandir grâce au groupe Seo Taiji & Boys, proposant la fusion de plusieurs styles musicaux (et principalement du hip-hop et du chant) dont le succès a révolutionné l'industrie musicale en Corée du Sud.
Explique le concept de transition démographique, couvrant les étapes, les impacts socio-économiques et les facteurs influençant les taux de fécondité dans les populations.
S’intéresse au modèle de transition démographique, à l’évolution des taux de natalité et de mortalité, aux tendances de la fécondité et aux implications du vieillissement de la population à l’échelle mondiale.