Concept

Chandrashekhara Venkata Râman

Résumé
Sir Chandrashekhara Venkata Râman ( - ) est un physicien indien. Il a découvert et expliqué la diffusion Raman. Il est lauréat du prix Nobel de physique de 1930 . Né à Tiruchirappalli, au Tamil Nadu, il déménage pendant son enfance à Visakhapatnam dans l'État de l'Andhra Pradesh. Il obtient ses licences et maîtrises de physique et d'anglais au Presidency College Madras de Chennai. Il rejoint ensuite l'Indian Civil Service, l'administration indienne, sur un poste à Calcutta. Ramân est professeur de physique à l'université de Calcutta quinze années durant. C'est là que ses travaux en optique vont être reconnus. Il est d'abord élu membre de la Royal Society le , puis remporte le prix Nobel de physique en 1930 (par exemple, la spectroscopie Raman utilise cet effet). C'est la première fois qu'un chercheur indien qui a fait complètement ses études en Inde reçoit un prix Nobel. Cette même année, il est lauréat de la médaille Hughes, puis de la médaille Franklin en 1941. En 1934, Ramân devient directeur de l'Indian Institute of Science à Bangalore, puis en 1949, il fonde l'Institut de recherche Raman. Il est fait chevalier en 1929 et reçoit la Bharat Ratna en 1954. Son épouse est décédée en 1980. Râman est l'oncle de Subrahmanyan Chandrasekhar, lauréat du Prix Nobel de physique de 1983. En 1915, à , Râman est nommé professeur de physique à Calcutta et deviendra directeur du département de physique de l’institut de Bangalore. Il s’intéresse à l’étude expérimentale de l’interaction entre la lumière et la matière. La genèse de la découverte de l’effet qui portera son nom est assez longue. En , Râman observe, en compagnie de Seshagiri Rao, que la lumière diffusée par de l’eau est partiellement dépolarisée lorsqu’un filtre violet est interposé sur le faisceau incident de lumière blanche. En 1922, il remarque que la couleur de la lumière diffusée dépend du liquide étudié. K. M. Ramanathan établit, pendant son passage à Calcutta durant l’été 1923, que la dépolarisation est due à l’existence d’une faible fluorescence intrinsèque des liquides, puis au printemps et à l’été 1924, K.
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