Four Right ExertionsThe Four Right Exertions (also known as, Four Proper Exertions, Four Right Efforts, Four Great Efforts, Four Right Endeavors or Four Right Strivings) (Pali: ; Skt.: or ) are an integral part of the Buddhist path to Enlightenment (understanding). Built on the insightful recognition of the arising and non-arising of various mental qualities over time and of our ability to mindfully intervene in these ephemeral qualities, the Four Right Exertions encourage the relinquishment of harmful mental qualities and the nurturing of beneficial mental qualities.
Kinhinthumb|170px|upright|Kinhin à Salt Lake City aux É.U.A. Kinhin (經行; japonais: kinhin ou kyōgyō, chinois : jingxing) est un terme du bouddhisme Zen et Chan qui désigne la méditation en marchant pratiquée entre les périodes de zazen. La vitesse de la marche diffère entre l'école Sōtō, où elle est très lente, et Rinzaï, où elle est rapide. Les pratiquants marchent autour de la pièce, dans le sens horaire, en tenant leurs mains en shashu (叉手) : le poing gauche fermé enserre le pouce, la main droite couvre le poing gauche.
KammatthanaIn Buddhism, is a Pali word (Sanskrit: karmasthana) which literally means place of work. Its original meaning was someone's occupation (farming, trading, cattle-tending, etc.) but this meaning has developed into several distinct but related usages all having to do with Buddhist meditation. Its most basic meaning is as a word for meditation, with meditation being the main occupation of Buddhist monks. In Burma, senior meditation practitioners are known as "kammatthanacariyas" (meditation masters).
VitarkaVitarka (devanāgarī : वितर्क ; pāli : vitakka) est un terme sanskrit qui signifie pensée conceptuelle, prise-ferme ou encore réflexion, conjecture, doute. Dans les Yoga Sūtra de Patañjali, vitarka est l'un des quatre états du saṃprajñāta samādhi consécutifs à la pratique constante (abhyāsa) des huit membres (aṅga) du Yoga. Comme facteur de dhyāna en méditation bouddhique, il s'agit de l'application initiale de l'attention (prélude à un maintien continu de l'attention, vicara) : le mental est capable de repérer toute distraction et de revenir à l'objet de l'attention (tel que la respiration dans la technique anapanasati).
SamathaSamatha (en pali) ou shamatha (en sanscrit : शमथ, IAST : śamatha), en tibétain chiné (ཞི་གནས་), désigne dans le bouddhisme la « tranquillité de l'esprit », la « quiétude » ou le « calme mental », et par extension la première étape des pratiques de méditation bouddhique permettant de développer cet état. La deuxième étape de la méditation bouddhique est la pratique de vipassanā, la « vue profonde ». méditation bouddhique La tradition tibétaine se fonde sur les textes de base suivants : le Ratnamegha sutra, le et sur les de Kamalashila.
EkagrataEkagrata (sanskrit IAST : ekāgratā ; devanāgarī : एकाग्रता ; ; en pāli : cittass'ekaggatā) désigne dans l'hindouisme et le bouddhisme la concentration focalisée. Ekagrata est l'un des facteurs de toute dharana : la concentration d'après l'ashtanga yoga de Patanjali. L'ekagrata est un des apprentissages qui mène au samādhi. L'ekagrata sera toujours décrit comme un facteur, une caractéristique de la dharana. Dans le bouddhisme, la concentration en un point (ekagrata) est l'un des facteurs des dhyana : vitarka (pāli : vitakka), vicāra, prīti (p.
DhutangaLes Dhutanga (du pali et sanskrit dhuta ou dhūta (tóutuó, 头陀, en chinois), et aṅga ; littéralement ) sont les treize (douze d'après les documents chinois) moyens de purifications ascétiques préconisés par le Bouddha Shākyamouni. Une ou plusieurs de ces pratiques peuvent être suivies (par des moines, mais aussi des laïcs) pendant un temps déterminé, choisies en fonction d'une ou plusieurs vertus à développer (contentement, modération, renoncement, énergie).
Quatre êtres noblesQuatre êtres nobles (sanskrit : caturāryapudgala, en pâli IAST catur-ariya-puggala, en chinois : , les quatre fruits des śrāvakas) est une expression bouddhique du courant theravāda qui désigne les quatre catégories de pratiquants qui sont entrés de façon irréversible sur le chemin de la libération complète à la libération complète des dix entraves qui maintiennent les êtres dans la souffrance et le samsâra. L'adjectif « noble » renvoie ici à une noblesse spirituelle.
Abhijñāvignette Abhijñā (sanskrit ; en pali : abhiññā) est un terme du bouddhisme qui désigne, dans la signification originelle, la connaissance directe. Abhiññā est parfois même assimilé à pratyaksha. Par exemple, dans le AN 4.254, abhiññā est décrit comme permettant la complète compréhension des cinq khandhas, l'abandon de avijjā et bhava·tanhā, l'expérience de vijjā et vimutti, et le développement de samatha et vipassanā. Ce terme désigne aussi des pouvoirs extraordinaires acquis par la méditation, par exemple une connaissance supérieure.
IddhiIddhi (Pali; Sanskrit: rddhi) in Buddhism refers to "psychic powers", one of the six supranormal powers (abhijñā) attained by advanced meditation through the four dhyānas. The main sense of the word seems to be "potency". According to Bowker, there are eight iddhi powers: Replicate and project bodily images of oneself, Make oneself invisible, Pass through solid objects, Sink into solid ground, Walk on water, Fly, Touch the sun and moon with one's hand, Ascend to the world of the god Brahmā in the highest heavens According to the Iddhipada-vibhanga Sutta (SN 51.