Concept

Jeu vidéo au Japon

Résumé
vignette|Salle d'arcade GiGO Akihabara, Tokyo Le jeu vidéo au Japon est une industrie majeure. On fait communément correspondre le développement de cette industrie au Japon à l'âge d'or des jeux vidéo en général. Des compagnies comme Nintendo, Sega, Sony Computer Entertainment ainsi que Taito, Namco, Capcom, Square Enix, Konami, NEC et SNK figurent parmi les grands noms qui ont marqué le secteur. Le jeu vidéo au Japon est connu pour ses catalogues issues de grand éditeurs, qui ont tous concouru sur les marchés des consoles de jeux vidéo et des salles d'arcade à divers point. Nintendo, un ancien vendeur de carte hanafuda, prends de l'importance dans les années 1980 avec la sortie de sa console de jeu vidéo Famicom, qui devient un hit majeur, connu sous le nom de Nintendo Entertainment System ou "NES" à l’international. Sony, déjà l'un des plus grands fabricants d'électronique au monde, est entré sur le marché en 1994 avec la PlayStation, l'une des premières consoles de salon à proposer des graphismes 3D, s'affirmant comme un éditeur majeur dans du marché. Shigeru Miyamoto reste internationalement reconnu comme un « père du jeu vidéo » et est à ce jour le seul développeur de jeux à recevoir la plus haute distinction civile japonaise pour les artistes, le 文化功労者 bunka kōrōsha ou Personne de Mérite Culturel. La culture d'arcade est une influence majeure chez les jeunes Japonais, Akihabara étant un lien majeur de la soi-disant culture otaku au Japon, qui possède un fort lien avec les jeux vidéo. Le jeu de rôle japonais est un genre de jeu issu du Japon mais qui reste populaire tant au niveau national qu'international, avec des titres comme Final Fantasy et Dragon Quest se vendant à des millions d'exemplaires. Le pays compte environ de joueurs en 2018. En 1966, Sega introduisit un jeu électronique nommé , un simulateur de sous-marin qui utilisait des lumières et vagues en plastique pour simuler le naufrage d’un navire depuis un sous-marin.
À propos de ce résultat
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.