Les crimes de guerre des Alliés ont été des violations des lois de la guerre commis par les forces militaires des Alliés au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Un crime de guerre ne peut être commis que par un militaire en période de guerre et dans le cadre d'opérations de guerre. Le même crime commis par des civils, ou par des militaires en dehors d'une situation de guerre, est qualifié de crime terroriste, voire de crime de droit commun. La victime d'un crime de guerre peut être soit un civil, soit un militaire désarmé qui s'est rendu et bénéficie de ce fait du statut de prisonnier de guerre.
Le travail forcé des prisonniers de guerre peut aussi être un crime de guerre dans la mesure où il ne respecte pas la Convention de Genève.
vignette|Soldat de la 12 division SS Hitlerjugend « passé à tabac » après sa capture dans le secteur de Carpiquet à l'été 1944.
Lors de la bataille de Sicile, des soldats canadiens ont exécuté des prisonniers de guerre allemands.
Durant la bataille de Caen, en conséquence de l’exécution de soldats de la D.I canadienne à l'abbaye d'Ardenne en juin 1944, les soldats canadiens décidèrent de ne plus épargner les soldats allemands de la Waffen-SS faits prisonniers : soit par des exécutions sommaires, soit par des « passages à tabac » (cf. illustration).
Le massacre d'Abbeville survenu le est une exécution sommaire perpétrée par des soldats français. Vingt-et-un civils parmi les 79 arrêtés administrativement par le gouvernement belge et livrés dans la débâcle aux autorités françaises sont fusillés sans jugement. Mis sous pression par l'avancée allemande, le commandant de la compagnie qui a la charge des prisonniers, Marcel Dingeon donne l'ordre à René Caron et Émile Molet de les tous. Le lieutenant Leclabart met fin au massacre en demandant l'ordre écrit d'exécution, que personne ne peut produire. René Caron et Émile Molet sont jugés par les Allemands. Ils sont tous deux fusillés au Mont Valérien en (Marcel Dingeon s'était donné la mort en 1941).
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L'expression « justice du vainqueur » exprime l'idée qu'une entité applique la justice selon ses propres termes, rejetant les notions de droit de l'ennemi vaincu. Les opposants avancent que l'application d'un ensemble de règles différentes est pareil à de l'hypocrisie et mène à de l'injustice. Les cibles des poursuites peuvent croire qu'il s'agit d'une justice dérogatoire. L'expression remonte au moins à 1861. L'expression est liée au de Brennos, où le vainqueur change de façon unilatérale les traités ou leur interprétation, ce qui se ramène à une forme de justice du vainqueur.
Par crimes de guerre de l'Armée rouge au cours de la Seconde Guerre mondiale, on entend des actes criminels et des infractions au droit international commis par les membres des forces armées soviétiques. En font partie les ordres donnés par les commissaires politiques ou les gradés de l'armée rouge, le non-respect du droit international de guerre et des conventions de Genève, les meurtres et les viols de civils, la mise à mort délibérée de prisonniers de guerre ainsi que d'autres crimes dans les différents pays concernés par le passage et le séjour de cette armée.
The governments of the German Empire and Nazi Germany (under Adolf Hitler) ordered, organized, and condoned a substantial number of war crimes, first in the Herero and Namaqua genocide and then in the First and Second World Wars. The most notable of these is the Holocaust, in which millions of European Jewish, Polish, and Romani people were systematically abused, deported, and murdered. Millions of civilians and prisoners of war also died as a result of German abuses, mistreatment, and deliberate starvation policies in those two conflicts.
Acting as a decision making institution on the raison d’etre of modern architecture by attributing a utopian role to it, CIAM (Congrés International d’Architecture Moderne), formed by some pioneering modern architects from Europe and USSR, and served betwe ...