A pillbox is a type of blockhouse, or concrete dug-in guard-post, often camouflaged, normally equipped with loopholes through which defenders can fire weapons. It is in effect a trench firing step, hardened to protect against small-arms fire and grenades, and raised to improve the field of fire.
The modern concrete pillbox originated on the Western Front of World War I, in the German Army
in 1916.
The origin of the term is disputed. It has been widely assumed to be a jocular reference to the perceived similarity of the fortifications to the cylindrical and hexagonal boxes in which medical pills were once sold; also, the first German concrete pillboxes discovered by the Allies in Belgium were so small and light that they were easily tilted or turned upside down by the nearby explosion of even medium (240mm) shells. However, it seems more likely that it originally alluded to pillar boxes, with a comparison being drawn between the loophole on the pillbox and the letter-slot on the pillar box.
The term is found in print in The Times on 2 August 1917, following the beginning of the Third Battle of Ypres; and in The Scotsman on 17 September 1917, following the German withdrawal onto the Hindenburg Line. Other unpublished occurrences have been found in war diaries and similar documents of about the same date; and in one instance, as "Pillar Box", as early as March 1916.
The concrete nature of pillboxes means that they are a feature of prepared positions. Some pillboxes were designed to be prefabricated and transported to their location for assembly. During World War I, Sir Ernest William Moir produced a design for concrete machine-gun pillboxes constructed from a system of interlocking precast concrete blocks, with a steel roof. Around 1500 Moir pillboxes were eventually produced (with blocks cast at Richborough in Kent) and sent to the Western Front in 1918.
Pillboxes are often camouflaged in order to conceal their location and to maximize the element of surprise.
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La défense en profondeur, terme emprunté à une technique militaire destinée à retarder l'ennemi, consiste à exploiter plusieurs techniques de sécurité afin de réduire le risque lorsqu'un composant particulier de sécurité est compromis ou défaillant. Le principe de défense en profondeur revient à sécuriser chaque sous-ensemble du système, et s'oppose à la vision d'une sécurisation du système uniquement en périphérie.
vignette|Un fortin à Saint-Andrews, au Canada. Un fortin militaire est une sorte de petit fort, d'une taille juste suffisante pour abriter quelques hommes, construit en un point stratégique. De nos jours, les casemates ont le même rôle que les fortins. Elles s'en différencient en ce qu'elles sont enterrées et qu'elles sont peu vulnérables à l'artillerie lourde. thumb|right|Un ancien fortin en Californie, aux États-Unis. thumb|right|Un fortin à Fort York, au Canada. Les Anglais auraient été les premiers concepteurs des fortins.
Les fortifications tchécoslovaques (en tchèque Československé opevnění) ou ligne Beneš, d'après le nom du président tchécoslovaque Edvard Beneš, renvoient à un ensemble fortifié frontalier édifié par la Tchécoslovaquie entre 1935 et 1938, et dont la construction a été essentiellement motivée par la menace grandissante représentée par l'Allemagne nazie d'Adolf Hitler. Devant faire face au Reich, mais aussi à l'Autriche, la Hongrie et, dans une moindre mesure, à la Pologne, elles auraient dû couvrir une grande partie des quelque de frontières tchécoslovaques.