Concept

Kulintang

Kulintang (kolintang, kulintangan) is a modern term for an ancient instrumental form of music composed on a row of small, horizontally laid gongs that function melodically, accompanied by larger, suspended gongs and drums. As part of the larger gong-chime culture of Southeast Asia, kulintang music ensembles have been playing for many centuries in regions of the Southern Philippines, Eastern Malaysia, Eastern Indonesia, Brunei and Timor, Kulintang evolved from a simple native signaling tradition, and developed into its present form with the incorporation of knobbed gongs from Sundanese people in Java Island, Indonesia. Its importance stems from its association with the indigenous cultures that inhabited these islands prior to the influences of Hinduism, Buddhism, Islam, Christianity or the West, making kulintang the most developed tradition of Southeast Asian archaic gong-chime ensembles. Technically, kulintang is the Maguindanaon, Lumad Ternate, Mollucas, and Timor term for the idiophone of metal gong kettles which are laid horizontally upon a rack to create an entire kulintang set. It is played by striking the bosses of the gongs with two wooden beaters. Due to its use across a wide variety groups and languages, the kulintang is also called kolintang by the people of Maranao and Sulawesi, totobuang by those in central Maluku, kulintangan and gulintangan by those in Brunei, Sabah, North Kalimantan and the Sulu Archipelago. Gulintangan or gulingtangan literally means rolling hands in Brunei, Sabah and Sulu By the twentieth century, the term kulintang had a come to denote an entire Maguindanao ensemble of five to six instruments. Traditionally the Maguindanao term for the entire ensemble is basalen or palabunibunyan, the latter term meaning “an ensemble of loud instruments” or “music-making” or in this case “music-making using a kulintang.” Kulintang belongs to the larger unit/stratum of “knobbed gong-chime culture” prevalent in Southeast Asia.

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Publications associées (1)

Repos alpin. Un cimetière entre Sierre et Crans-Montana (VS)

Elsa Cornu

La région comprise entre Sierre et Crans-Montana dans les Alpes valaisannes connaît, depuis les années 1970, un développement de type périurbain sans cesse croissant. Ce développement, alimenté par une population citadine en mal de “nature”, se traduit par la construction massive de villas individuelles qui crée une homogénéisation du paysage et un recul de la pluralité des fonctions sur un même territoire. Le thème du cimetière permet de réenvisager le paysage de la région non plus comme fait purement esthétique exploité comme argument immobilier et touristique, mais comme rencontre des dimensions bio-physique, culturelle et subjective d'un territoire à mettre en valeur. De plus, en créant un rapport entre la vie et la mort, le cimetière ajoute une dimension symbolique au paysage. Par ailleurs, un pareil programme vise à engendrer des sensations fortes qui s'opposent à l'homogénéisation du territoire et, de ce fait, des émotions des personnes qui l'occupent. Le site retenu s'étend sur une friche agricole bordée d'une falaise qui surplombe le funiculaire qui relie Sierre à Crans-Montana. Il s'ouvre sur la vallée du Rhône et les montagnes qui la dominent. Le projet s'appuie sur une lecture sensible du paysage en construisant non pas un ensemble homogène et continu, mais plusieurs pièces qui accueillent les tombes, un columbarium et un jardin des souvenirs. Reliées entre elles par une promenade continue qui traverse un milieu de friche agricole, les différentes pièces identifient et magnifient différents types de paysage.
2010
Concepts associés (22)
Austronésiens
On appelle Austronésiens les membres des populations parlant des langues austronésiennes. Un usage plus ancien est celui de malayo-polynésiens, mais aujourd’hui, l’expression « langues malayo-polynésiennes » ne désigne plus que l'une des branches de la famille austronésienne, quoique de loin la plus nombreuse ( sur un total de austronésiennes). Certains chercheurs utilisent, comme équivalent de malayo-polynésien, le terme de « nusantarien » (de nusantara, ancien mot javanais signifiant « îles de l’extérieur », qui désignait à l'origine les îles de l’archipel indonésien autres que Java).
Musique indonésienne
La musique indonésienne est constituée de la musique propre aux groupes ethniques et religieux variés peuplant la république d'Indonésie, et de la musique que ses citoyens reconnaissent comme appartenant à l'ensemble de la nation. Ce clivage est traversé par celui entre tradition et modernité : la musique javanaise recouvre aussi bien la musique traditionnelle (rurale, religieuse ou de Cour), que la pop music. Une forme propre à un groupe peut être adoptée par les autres Indonésiens et devenir nationale.
Tausūg (groupe ethnique)
Les Tausūg ou Suluk sont un groupe ethnique des Philippines, de Malaisie et d'Indonésie. Les Tausūg font partie de l'identité politique plus large des musulmans de Mindanao, Sulu et Palawan. La plupart des Tausūg se sont convertis à l'Islam sunnite. Les Tausūg avaient à l'origine un État indépendant connu sous le nom de Sultanat de Sulu, qui exerçait jadis sa souveraineté sur les provinces actuelles de Basilan, de Palawan, de Tawi-Tawi, de Zamboanga, de l'État malaisien de Sabah et le Kalimantan du Nord en Indonésie.
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