Remain in Light est le quatrième album studio de Talking Heads, sorti le . Cet album, accueilli par des critiques louangeuses, est le dernier album du groupe produit par Brian Eno.
L'album s'est classé au Billboard 200 et a été certifié disque d'or par la Recording Industry Association of America (RIAA) le .
Intégrant des rythmes africains funky, cet album a influencé les courants post-punk, world music et new wave. Remain in Light mélange des formes musicales afro-américaine, africaine et américaine. Ken Tucker du magazine Rolling Stone note à l'époque qu'il y a rarement eu . Dans une critique de l'album, l'écrivain Gavin Edwards note dans Rolling Stone que . À côté de la musique, les thèmes des textes de l'album reflètent ce que l'un des auteurs du Grove Dictionary of Music and Musicians, Robert Walser, considère comme postmoderne dans la mesure où ils évoquent En raison de l'architecture polyrythmique et collaborative des morceaux de Remain in Light, les Talking Heads intègrent sept musiciens supplémentaires dont le guitariste Adrian Belew et le claviériste de Funkadelic, Bernie Worrell, au cours des concerts de la tournée qui a suivi la sortie de l'album.
Le dernier morceau de l'album, The Overload, est une tentative de Talking Heads de reproduire le son de Joy Division. Cette tentative est effectuée bien qu'aucun membre du groupe n'ait en fait déjà entendu la musique de Joy Division. Elle est plutôt basée sur une idée de ce que pourrait être le son de Joy Division.
Comme mentionné ci-dessus, les Talking Heads invitent sept musiciens supplémentaires pour la tournée de promotion de Remain in Light durant les années 1980 et 1981. La première apparition du groupe élargi, qui en plus de Belew et de Bernie Worrell inclut le percussionniste Steve Scales, les choristes Nona Hendryx et Dollette McDonald et le bassiste Busta Cherry Jones, a lieu en au festival Heatwave à Toronto. Les Talking Heads commencent en jouant quatre morceaux sortis avant Remain in Light.