Close to nature forestry is a management approach treating forest as an ecological system performing multiple functions. Close to nature silviculture tries to achieve the management objectives with minimum necessary human intervention aimed at accelerating the processes that nature would do by itself more slowly. It works with natural populations of trees, ongoing processes and existing structures using cognitive approach, as in the case of uneven-aged forest (Plenterwald). Its theory and practice takes forest as a self regulating ecosystem and manages it as such.
It aims at overcoming the divorce between forestalist and ecologist management systems of forest. As an important consequence, it concludes that if properly applied, it would render the segregation of forest lands into "productive" and "reserves" or national parks unnecessary.
The Arbeitsgemeinschaft für Naturgemässe Waldwirtschaft (ANW) (Working Group for the Close to Nature Forestry) was established in Germany in 1950. In recent years this association has increased a lot its membership. The main reasons being the increase of ecological consciousness, the growing demand for forest products or services other than wood, the damages suffered by regular forest stands, the forest death fear. Another term often used to describe a close to nature approach to forest management, especially in Britain and Ireland, is Continuous Cover Forestry.
Because of a 1948 forest law, Slovenia has many forests managed according to the principles of close to nature forestry. In 1989 ANW promoted a meeting at Robanov Kot in Slovenia, in the Julian Alps, and the Pro Silva organization was created, with representatives of 10 countries. At present the organization headquarters are in the French region of Alsace.
In the United States, professor Thomas J. McEvoy has published the book Positive Impact Forestry, which recommends forestry practices similar to those of the "close to nature" movement.
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L'écologie forestière est la branche de l'écologie qui étudie les forêts de la planète. L'écologie forestière cherche à comprendre notamment les effets de la déforestation, de la fragmentation forestière et de diverses formes de modification, surexploitation, artificialisation ou destructions de forêt. Ils s'appuient notamment sur les typologies forestières, la phytosociologie, les associations typiquement forestières, les espèces bio indicatrices (qui peuvent être aussi modestes que par exemple les collemboles), et donc la biodiversité de la forêt et en particulier de la flore forestièreRameau, J.
La gestion durable des forêts ou l'aménagement écosystémique des forêts est un mode de sylviculture à tendance écologique qui fixe des critères, indicateurs et objectifs sociaux et environnementaux, en plus des objectifs économiques à la gestion forestière. Elle vise le maintien ou une gestion restauratoire de la biodiversité à de multiples échelles, pour une viabilité ou une meilleure résilience écologique de l'ensemble des écosystèmes forestiers tout en répondant aux besoins socio-économiques d'utilisation des ressources naturelles forestières, du bois, de la faune, de la flore, des fungis ou des aménités environnementales.
La sylviculture est l'activité et l'ensemble des méthodes et pratiques par lesquelles le « sylviculteur » agit sur le développement, la gestion et la mise en valeur d'une forêt ou d'un boisement pour en obtenir un bénéfice économique et/ou certains services profitables à la société (dans une approche de forêt dite multifonctionnelle). La sylviculture est dite « durable » (gestion durable de la forêt), quand le sylviculteur s'assure que le capital forestier est acquis et optimisé, et qu'il peut être maintenu pour les générations futures, pour en retirer durablement des bienfaits ou des produits comme le bois, sans en dégrader le capital.